Cétait pour une pièce de THÉÂTRE !!! - Page 8 Etoile ai l'impression de me faire draguer dans ce groupe de théâtre la dernière fois, ce fut peu fructueux faut que j'arrête de me
Il y a bientôt deux ans, Sébastien Delorme s’est rendu dans une petite salle de théâtre de la capitale complètement intoxiqué pour assister à la pièce Trainspotting». Depuis cette expérience étrange, sa vie n’a plus jamais été la même. À la veille de la Journée mondiale du théâtre, il nous raconte pourquoi.C’était en avril 2013. Sébastien avait alors 26 ans et consommait depuis l’âge de 18 ans. De la peanut » amphétamines, du crystal meth » métamphétamine en cristaux, des médicaments comme de l’Ativan et beaucoup beaucoup d’alcool. Il avait décidé une bonne fois pour toutes d’arrêter et s’était inscrit à la maison d’hébergement de l’organisme PECH. Quand je suis rentré là, ça faisait deux semaines que je ne m’étais pas lavé. Dans les deux semaines, j’avais dû dormir quatre heures, mangé une pointe de pizza… » En sept ans, il avait essayé cinq thérapies. Lors d’une bonne journée, un médiateur culturel de PECH, Marc Boilard, lui propose de faire une activité culturelle. La grande passion de Sébastien est la musique, mais il mentionne le théâtre, une activité peu engageante où on n’a pas besoin de parler. Le médiateur lui propose d’aller voir Trainspotting à Premier Acte dans une adaptation de Wajdi Mouawad. Il est arrivé avec ses billets. Il a dit qu’il en avait parlé avec ses boss, qu’il était pas sûr, mais me le proposait. J’ai trouvé ça veg mais j’ai dit “ OK. ” » Dans les jours précédant la pièce, Sébastien rechute. J’étais chez mon ami, réveillé depuis trois jours. J’écoutais la même musique sans arrêt. PECH m’avait donné un dernier avertissement. Ils disaient que s’il y avait pas d’évolution, ils allaient donner ma place à quelqu’un d’autre. J’étais trop gelé, mais en même temps, je me suis dit “ Non, vas-y. Tu t’es engagé, ça va être le fun, ça va te faire voir autre chose. ” » Un bébé et un coup de marteau Trainspotting est un roman de l’auteur écossais Irvine Welsh qui décrit la vie d’un groupe d’héroïnomanes en Écosse. La plupart des gens connaissent le film qui s’en est inspiré. Mais la pièce, c’est autre chose, dit Sébastien. C’était intense. Dans l’état où j’étais, c’était terrifiant comme expérience. » Il avait vu le film, mais là c’était moins léger ». Au début tu ris, après tu ris jaune, puis après tu vois que c’est vraiment de la marde. » La pièce montrait bien comment on prend tout à la légère » quand on consomme. C’est juste trop bizarre de faire ça. Tu t’en rends pas compte quand t’es dedans. Mais là, tu le vois de l’extérieur pis ça te le remet dans la face solide. » En même temps, dit-il, la pièce est moins dure que la réalité ». T’as des problèmes dégueu avec ton corps. Les six derniers mois d’alcool, je vomissais constamment. Quatre fois par jour au moins. Quand je prenais de la drogue, j’ai eu une tache sur le poumon, j’avais des problèmes de foie, j’ai perdu des dents. » À une certaine époque, par manque d’argent, il allait trouver son buzz en calant des boissons gazeuses en quantité. Quand t’es rendu à caler huit litres de Pepsi par jour, faut que tu sois perdu. » Mais ce n’est pas tant le thème de l’autodestruction qui l’a ébranlé dans la pièce que celui de sa scène finale. Quand le personnage de la fille découvre son bébé mort le lendemain d’une grosse soirée sous l’effet de l’héroïne. Pour Sébastien, ça a été un véritable coup de marteau. Ça m’a ramené au côté spirituel de la chose. T’as la pureté d’un enfant […] puis ils gâchent ça. La fille se met à crier que c’est de sa faute. Son enfant est mort, puis c’est de la faute de personne d’autre. Ça, ça me touche. C’est comme ça que je vois mon rétablissement. C’est de prendre la responsabilité. C’est pas une faute au sens chrétien du terme, c’est juste d’être responsable de soi-même. » En sortant de la pièce, Sébastien a dit à Marc que c’était vraiment fini. Une rose dans la forêt Deux années sont passées depuis et il n’a jamais recommencé. Ça n’a pas été facile tous les jours, mais il a tenu bon. Maintenant, il a son propre logement, joue de la musique plus que jamais dans trois groupes différents. Il fait du bénévolat au Centre Jacques-Cartier, il a renoué avec sa famille et n’a plus peur de prendre les enfants de sa soeur dans ses bras. Depuis un mois et demi, je me sens vraiment heureux. Je ne me souviens pas d’avoir été aussi bien depuis 15 ans. » Julie Lebel, l’intervenante qui suivait Sébastien à PECH, se rappelle très bien l’époque où il est allé au théâtre. Il était arrivé chez nous avec sa décision de prise. Il était au bout du rouleau. Ce que la pièce est venue faire, c’est valider sa décision. » L’histoire de Sébastien a ceci de particulier qu’il n’a pas rechuté, dit-elle. Les gens qui ont l’art de leur côté », dit-elle, ont une chance de plus. Sébastien a eu deux chances de ce type-là. Pendant qu’il essayait d’arrêter, un ami musicien a écrit à l’homme qu’il admire le plus sur Terre, Ian MacKaye, le chanteur du groupe Fugazi. Fugazi est un groupe mythique de punk hardcore » qui rejette l’alcool, les drogues et la fuite au profit de l’action. Sébastien est leur fan depuis l’adolescence. Un soir en rentrant chez lui, il trouve une lettre en provenance de la compagnie de disque du chanteur. Il pense qu’il est devenu fou. À l’intérieur, il découvre une photo représentant une rose dans la forêt en plein soleil. Au verso, Ian lui parle de musique, l’encourage et lui souhaite une navigation sans brume. Le visage de Sébastien s’éclaire chaque fois qu’il en parle. Il m’a écrit ça à la main, c’est fou ! Juste la photo, ça témoigne de ce qui est vrai et de ce qui est beau dans la vie. » Aujourd’hui, Sébastien est rendu ailleurs. À moins de le faire pour aider les autres, il ne tient plus particulièrement à parler de sa désintoxication. Il veut être dans l’action comme Ian. Les gens me disent que c’est “ vraiment quelque chose ” d’avoir arrêté. Oui mais ce qui est vraiment quelque chose, c’est d’être bien après. » Si l’art l’a aidé, Sébastien aide l’art à son tour d’une certaine façon. La metteure en scène de la pièce, Marie-Hélène Gendreau, a trouvé dans son histoire une source de motivation inestimable. C’est un cadeau pour une artiste. L’infirmière qui rentre au travail, elle est sûre qu’elle aide des gens. Nous on s’investit, mais on ne sait pas quelles répercussions ça va avoir. » La pièce doit être reprise au Théâtre de la Bordée de Québec cet automne et par la suite à Montréal. À voir en vidéo
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oùcet événement eut lieu : Ferme des Communes, 77700 Serris C'était quand la dernière fois ? avec Virginie Hocq, Zinedine Soualem Ferme des Communes, Serris - Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle - Fiche événement Critiques 102 critiques avec une note globale de 8/10
Notre ancienne GAEL Guest repart en tournée pour vous faire rire aux éclats avec son nouveau spectacle “C’était quand la dernière fois?”.Cet automne, Virginie Hocq fera une tournée des théâtres belges avec Zinedine Soualem. Les deux humoristes partagent l’affiche de “C’était quand la dernière fois”, une pièce signée Emmanuel pitch Quoi de plus efficace pour régler un problème que de s’en débarrasser de manière définitive » ? Un soir, comme tous les soirs de sa petite vie bien ordonnée, une femme va commettre le pire l’indicible et inavouable acte, d’empoisonner, de mettre à mort son mari. Une comédie délirante et bien sûr pleine de le contenu inséré d'un réseau de médias sociaux qui souhaite écrire ou lire des cookies. Vous n'avez pas donné la permission pour ici pour autoriser cela de toute façonLes dates Le 11/10 Centre culturel de Nivelles Le 12/10 Théâtre Royal de Mons Le 13/10 Théâtre Saint-Michel, Bruxelles Le 19/10 Salle Baudouin IV, Braine-le-Comte Le 20/10 le Forum de Liège Le 21/10 Théâtre Royal de Namur Le 24/11 Palais des Beaux Arts Le 29/03 Le Central, La Louvière Le 30/03 Centre culturel de Huy Réservez vos tickets iciPLUS DE CULTURE L’amie prodigieuse » les premières images de la version télé sont là Marc Lavoine Aimer quelqu’un, c’est lui apprendre à marcher seul » Cinéma 5 sorties à ne pas rater en septembre Ce qu’on a pensé de la dernière saison d’Orange is the New Black Rencontre Claire Chazal se prête au jeu du tac-au-tac
Cétait quand la dernière fois ? Synopsis; Casting; Année de production : 2019; Genre : Théâtre ; Durée : 105 min. Synopsis . Lors d'un dîner qui promettait d'être aussi morne que les
Sonia Mekkiou, décédée dimanche 13 mai à Alger, est l’une des plus grandes comédiennes algériennes de ces cinquante dernières années. Elle a marqué les planches, la télévision et le grand écran avec une centaine de travaux artistiques depuis la fin des années 1960. Sakina Mekkiou, plus connue sous le nom de scène de Sonia, native d’El Milia, à Jijel, a entamé sa carrière à dix-sept ans, malgré les résistances de son entourage familial. Elle a été parmi les premières étudiantes à entrer à l’INADC Institut national des arts dramatique et chorégraphique, crée en juin 1970, et devenu, depuis 2004, Institut supérieur des métiers des arts de spectacle et de l’audiovisuel ISMAS. Entre 2001 et 2004, Sonia a dirigé avec brio l’INADC. En 2009, elle est désignée, par Khalida Toumi, alors ministre de la Culture, directrice du Théâtre régional de Skikda, puis de Annaba où elle prend sa retraite en 2015. Je gère le théâtre comme une artiste, pas comme une administratrice », disait-elle souvent. Elle est la première femme à diriger un théâtre en Algérie. Sonia lors de l’ouverture du Festival du théâtre féminin de Annaba Apprentissage de la mise en scène Durant les années 1970, 1980 et 1990, Sonia a travaillé, au niveau du Théâtre de Annaba puis du Théâtre national algérien TNA à Alger, en tant que comédienne, tous les grands noms du Théâtre algérien et maghrébin. J’ai eu la chance de travailler avec Mustapha Kateb, El Hachemi Noureddine, Abdelkader Alloula, Tayeb Sediki dramaturge marocain, Sid Ahmed Agoumi, Ziani Chérif Ayad, M’hamed Benguettaf… En France, j’ai travaillé avec Jean Yves Lazennec cofondateur du Théâtre universitaire de Paris X, Hervé Loichemol directeur de la Comédie de Genève et Jean Louis Hourdin. Avec tous ces hommes de théâtre, j’ai appris beaucoup de choses sur la mise en scène et sur la direction d’acteur surtout que chacun avait ses propres techniques et sa propre méthode. Ma première mise en scène était une dramatique pour la télévision, el doub » l’ours, d’après l’œuvre de Tchékhov. C’était après 1988. Dalila Hlilou, Sid Ahmed Agoumi et Noureddine Berrane étaient distribués dans cette dramatique. Et ma première mise en scène pour le théâtre était la pièce Hadria Ou El Hawas » avec Mustapha Ayed dans les années 1990 », nous a confié Sonia, en marge d’une précédente édition du Festival d’Annaba du théâtre féminin. Sonia avec les lauréat du Festival national du théâtre féminin de Annaba Elle a enchaîné la mise en scène, avec des pièces telles que Layllat Talaq » Nuit de divorce, Bla zaaf » sans nervosité et Loughat el oumahat » La langue des mères. Avec le théâtre régional de Batna, elle a mis en scène la pièce Yughurta », en 2007, et avec celui de Skikda, Amama Aswar el madina » devant les remparts de la ville, en 2010, une adaptation d’une œuvre de l’allemand Tankred Dorst, ainsi que Bellahrach », en 2011, d’après un texte de Salim Hilali. Scène de la pièce Bellahrach de Sonia Dans ces trois pièces, Sonia s’est inspirée de l’antiquité et de l’Histoire médiane algériennes pour explorer des thématiques liées à la résistance, à la liberté et à la quête d’émancipation. La dénonciation de l’oppression y est toujours présente, d’une manière ou d’une autre. Scène de la pièce Bellahrach de Sonia Quand Sonia revisite Fatma » En mars 2005, Sonia a pris le pari de mettre en scène Fatma », le premier monodrame féminin du théâtre en Algérie où elle a interprété le rôle de la femme de ménage algéroise en quête de liberté, au début des années 1990, sous la direction de Ziani Chérif Ayad, d’après un texte dense de M’Hamed Benguettaf. Dans la nouvelle version de Fatma », elle a confié le rôle à Nesrine Belhadj, une des valeurs sûres du théâtre algérien. Avec Ziani Chérif Ayad, M’Hamed Benguettaf et Azzeddine Medjoubi, Sonia cofonde, en 1989, Masrah Al Qâla’a le théâtre de la Citadelle, l’une des premières compagnies indépendantes en Algérie, après avoir quitté le TNA qu’elle a rejoint en 1977. Cette dynamique d’émancipation sera brisée par les violences des années 1990 et l’assassinat d’Abdelkader Alloula 1994 et d’Azzedine Medjoubi 1995, deux monstres consacrés du 4e art algérien. Avec Masrah Al Qâla’a, Sonia interprète des pièces aux côtés de Benguettaf et Medjoubi comme El Ayta ». Alloula était un repère pour moi » Durant les années 1980, elle s’est illustrée dans deux pièces-phare du répertoire dramatique algérien, Galou laarab galou » 1983 et Les Martyrs reviennent cette semaine », d’après un texte de Tahar Ouettar et une mise en scène de Ziani Chérif Ayad. Sonia a travaillé avec Alloula dans les années 1980. Alloula était un repère pour moi. J’ai appris à le connaître avec la pièce Les bas-fonds » Al Dahaliz en 1985. Nous sommes devenus des amis après. J’insistais pour avoir la critique d’Alloula à chaque fois que je jouais dans une pièce. Sans cette critique, je considérais que mon travail n’était pas fini. Alloula, en homme généreux, se déplaçait avec ses amis pour assister à nos spectacles. Je me souviens qu’il était venu d’Oran assister à la pièce Galou l’âarab Galou » à Sidi Bel Abbès. La dernière fois que j’ai vu Alloula vivant, c’était à Skikda en 1993. Je participais avec Sid Ahmed Agoumi à la pièce L’amour et après » de Masrah El Qalâa. Il était venu avec Ghaouti Azri et Mohamed Haïmour nous soutenir à l’hôtel. Nous étions restés jusque tard dans la nuit à discuter autour de la pièce. Alloula m’avait beaucoup soutenue lorsque j’ai commencé à travailler avec Rachid Boudjedra sur l’adaptation du Journal d’une femme insomniaque ». J’avais beaucoup d’appréhensions par rapport à l’adaptation de ce roman, un texte très osé. Il fallait pour moi trouver la manière subtile de dénoncer des choses sans heurter le spectateur qui est dans la salle assis à côté de sa fille. Alloula m’avait aidée à atteindre cet objectif. Je peux parler pendant des heures sur Alloula, un homme qui donnait énormément dans sa vie, dans son travail. J’ai appris beaucoup de choses avec lui. C’était un homme ordonné et structuré. Pour Les bas-fonds », il avait tracé une mise en scène avec méthode. Alloula décortiquait chaque personnage humainement, psychologiquement. Il nous amenait vers le rôle sans nous rendre compte », a confié Sonia, en mars 2014, dans une interview au journal El Watan. Je n’ai jamais été victime de la censure » Cela fait plus que quarante ans que je fais du théâtre dans ce pays. Je suis passée par plusieurs étapes traversées par le pays. J’ai connu l’époque du théâtre étatique sous le régime du parti unique. J’ai connu aussi la période des coopératives indépendantes après le début du pluralisme politique. Et j’ai dirigé des théâtres régionaux financés par l’État. Franchement, je n’ai jamais été victime de la censure au théâtre. C’est un témoignage. Nous avons joué dans des pièces durant la période du parti unique. Lorsque nous avons joué Les Martyrs reviennent cette semaine » au Festival du théâtre arabe à Damas, après les événements d’octobre 1988 en Algérie, le public nous a posé des questions sur la situation du pays. M’Hamed Benguettaf, qui a adapté et joué dans la pièce, a déclaré que les gens sont sortis dans la rue pour demander plus de liberté et de démocratique. Un spectateur syrien a répondu en disant On ne peut pas parler de l’absence de démocratie, dans pays dont le gouvernement finance une pièce comme la vôtre ». Cela concerne le théâtre, mais ailleurs, le problème de la liberté d’expression se posait », a souligné Sonia dans la même déclaration qu’elle nous a faite à Annaba. Elle a rappelé le risque qu’elle avait pris en montant Journal d’une femme insomniaque », d’après le roman de Rachid Boudjedra durant les années 1990. Une pièce audacieuse sur la situation de la femme au sein de la société algérienne avec une exploration de l’univers intime féminin. J’ai mis en scène Hata ltem », durant les années du terrorisme. Dans cette pièce, nous critiquions les femmes en djelbab et les barbus qui vendent la lingerie fine. Le sujet de Hadria ou el hawas » était également sensible. Nous ne faisions pas dans le théâtre commercial, même si aujourd’hui ce genre de théâtre a toute sa place. Nous faisions du théâtre engagé pour dire des choses et dénoncer certaines autres », a confié Sonia. Le parcours brillant du théâtre algérien Durant la même période, Sonia a participé à la pièce Les généraux » El Ajouad, d’après l’œuvre d’Abdelkader Alloula, mise en scène par Jean-Yves Lazennec. La pièce, présentée au festival d’Avignon en France, en 1995, était également interprétée par Sid Ahmed Agoumi et Mohamed Haimour. Récemment, Sonia, avant qu’elle ne soit freinée par la maladie, voulait remonter sur scène et avait envie d’adapter aux planches Syngué Sabour » Pierre de patience, célèbre roman de l’afghan Atik Rahimi. Le texte a, depuis, été adapté aux planches par Mourad Senouci, actuel directeur du Théâtre régional d’Oran TRO. Elle a justement collaboré avec Mourad Senouci pour monter la pièce Imraa min waraq » Une femme en papier, d’après un roman de Waciny Laredj, en 2012. La même année, elle a mis en scène Djamilate » Belles, d’après un texte de Najet Taibouni, sur les femmes algériennes qui ont combattu le colonialisme français. En 2014, le théâtre régional d’Annaba a monté en tamazight la pièce Les mimosas d’Algérie », mise en scène par Djamel Marir, d’après un texte du français Richard Demarcy. Sonia avec Tounes Ait Ali, Mourad Senouci et la soeur de Azzeddine Medjoubi à Annaba C’est pour moi, un rêve qui s’est réalisé. Le théâtre peut contribuer à promouvoir une langue et à la faire partager », a-t-elle dit. Elle voulait tellement mettre en valeur et en avant le la production des femmes au théâtre qu’elle a lancé, en 2012, le Festival national du théâtre féminin. Elle avait veillé à rendre hommage aux femmes qui ont marqué le parcours brillant du quatrième art algérien comme la scénographe Lilliane El Hachemi et les actrices Keltoum, Fatiha Berber et Yasmina Douar depuis les années 1950. Ce festival s’est arrêté en 2015 en raison de restrictions budgétaires au ministère de la Culture. Reprendre ce festival serait peut-être une belle manière de rendre hommage à Sonia Mekkiou, la reine incontestée du théâtre algérien. Sonia avec l’homme de théâtre Omar Fetmouche lors d’un débat à Annaba
Maisvers la fin il y a eu des danses et ça c'était le moment que j'ai le plus aimé. Il y avait des danses turques et espagnoles. C'était plutôt drôle. Le moment que j'ai beaucoup aimé c'est quand la fille et le Turc se marient et que tout le monde était amoureux dans la pièce ! Nassima » « J'ai adoré cette pièce. J'ai trouvé ça
Source Wikipédia Le théâtre Théâtre nom masculin à l'origine le théâtre theatron est l'endroit d'où l'on voit ce sont des gradins, en somme. Aujourd'hui, le théâtre désigne un lieu dans lequel on représente un spectacle, une pièce de théâtre par exemple. Personnages nom masculin les acteurs interprètent un rôle. Une personne joue donc un personnage. Chez Molière, ce sont souvent des bourgeois, des aristocrates, des pères de famille, des femmes, des valets, des médecins, etc. Metteur en scène nom masculin une pièce de théâtre n'est pas vraiment faite pour être lue, mais pour être jouée. Le metteur en scène dirige les acteurs leur dit où se mettre, que mettre, comment dire le texte, choisit les décors, etc. Intrigue nom féminin c'est l'ensemble des événements qui forment le nœud d'une pièce. C'est l'action, l'histoire. Nœud nom masculin c'est le cœur de l'action quand tous les événements se mêlent et que l'on se demande comment l'histoire va se terminer. Dénouement nom masculin l’intrigue se termine par le dénouement, lorsque tous les nœuds sont dénoués. C’est donc la fin de l’histoire. La construction d'une pièce Acte nom masculin une pièce de théâtre est divisée en différentes parties que l’on appelle des actes. Il existe des pièces en un seul acte, certaines en ont cinq. À l’origine, la longueur de l’acte correspondait à la durée de vie des bougies disposées pour éclairer la salle une vingtaine de minutes environ. Scène nom féminin un acte est lui-même divisé en scènes. En principe, on change de scène quand un personnage entre ou sort de la scène. Scène d'exposition nom féminin la scène 1 de l’acte I est appelée scène d’exposition. On y expose rapidement l’intrigue, les personnages, l’essentiel de ce qui est nécessaire à la compréhension de la pièce. L'écriture d'une pièce Dialogue nom masculin le texte d’une pièce de théâtre est composé de dialogues. Ce sont des personnages qui se parlent. Il n’y a donc pas de narrateur. Réplique nom féminin paroles qu’un personnage dit en réponse aux paroles qui lui sont adressées lors d’un dialogue. Didascalie nom féminin phrases souvent en italique. Elles ne doivent pas être dites par le personnage. Ce sont des indications données par l’auteur sur la manière dont la pièce doit être jouée quel geste doit faire le personnage, sur quel ton il doit dire telle réplique, etc.. Monologue nom masculin quand, dans une scène, un seul personnage parle, c’est un monologue mono- veut dire un. C’est le contraire de dialogue. Le genre de la pièce Comédie nom masculin pièce de théâtre divertissante se terminant généralement bien. Les personnages en sont le plus souvent des bourgeois, des valets... Si la comédie divertit, elle instruit parfois en nous montrant une image du monde dans lequel nous vivons. Tragédie nom féminin contrairement à la comédie, la tragédie se termine en principe mal. Les personnages en sont des rois, des reines, toutes sortes de héros. Elle se termine mal. Ce qui arrive aux personnages doit nous inspirer la terreur et la pitié. Commedia dell'arte nom féminin c’est une forme de théâtre pratiquée par des comédiens italiens professionnels. L’intrigue représentée est drôle, ponctuée de gags des lazzi. Les acteurs doivent improviser, car le texte n’est pas entièrement rédigé. Farce nom féminin c’est l’ancêtre de la comédie. Au Moyen Âge, la farce met en scène souvent sur de simples tréteaux dans la rue des personnages comiques qui ont beaucoup inspiré Molière le mari cocu, le naïf, le rusé.... Partager À voir également Les théâtres de Paris Le Médecin volant Le Bourgeois gentilhomme de Molière, Acte II scène 4 extrait Les Fourberies de Scapin de Molière scène VII Rire avec Molière 5e
Théâtre: Théâtre Tristan Bernard – 64, rue du rocher 75008 Paris. Locations : 01 45 22 08 40 et FNAC – TICKETNET et points de vente habituels . Tarif : Mardi – Jeudi – Vendredi – Samedi : de 10€ à 38€ - Mercredi : de 10€ à 32€ Moins de 26 ans : 10 € Durée : 1h30
Il était réputé pour ses pièces provocantes affichant toujours complet. A Moscou, le Centre Gogol, théâtre transformé en nid de liberté par l'artiste aujourd'hui exilé Kirill Serebrennikov, a joué jeudi soir son dernier spectacle "Je ne fais pas la guerre."Des mots qui résonnent, dans le contexte de l'assaut russe en cours depuis plus de quatre mois contre l'Ukraine et qui a entraîné en Russie un nouveau tour de vis contre ceux qui ne pensent pas comme le salle est pleine, l'émotion forte, les applaudissements s'enchaînent. Sur scène, les acteurs interprètent des textes du poète et ancien soldat Iouri Levitanski 1922-1996, très apprécié de l' titre est tiré d'un vers emblématique "J'ai presque tout oublié, je veux tout oublier. Je ne fais pas la guerre, la guerre se fait en moi". Avant la représentation, des spectateurs ont déposé quelques roses devant le théâtre aux murs blancs, comme à des funérailles. "Ils ferment tout, ils bloquent tout", déplore Daria Kojevnikova, une enseignante de 36 ans. Elle marque une pause, puis un étrange sourire traverse son visage couvert de taches de rousseur "On sera bientôt tous enchaînés." Le directeur artistique du centre Gogol Alexeï Agranovitch G, qui avait remplacé en février 2021 son directeur historique Kirill Serebrennikov, éjecté de son poste par le pouvoir, après la dernière représentation, le 30 juin 2022, de ce théâtre fermé par les autorités / AFP Alors qu'un nouveau rideau de fer s'est abattu entre la Russie et l'Europe, le pouvoir russe accélère sa répression contre toute critique de l'offensive en Ukraine. A coup de fermetures d'organisations, d'amendes et de peines de maintenant au tour du Centre mairie de Moscou a annoncé que le théâtre, une scène municipale, allait changer de direction à la rentrée et retrouver son nom d'antan - Théâtre dramatique Nikolaï Gogol - celui d'avant l'ère Serebrennikov, quand on y jouait des pièces bien plus autre théâtre moscovite réputé, le Sovremennik, va aussi changer de direction. - "Symbole de liberté" -Entre 2012 et 2021, Kirill Serebrennikov a été le directeur artistique du Centre Gogol et en fait un pilier de la vie culturelle russe. On y montait des pièces endiablées mêlant performance, critique sociale, sexualité. On y invitait des artistes étrangers."C'est un endroit où ils avaient réussi à mêler la modernité, la mode et l'art. Un endroit qui montrait aux jeunes que c'est cool de faire de l'art", témoigne Alia Talibova, une Moscovite de 39 ans venue au dernier la dernière représentation, le 30 juin 2022 à Moscou, du Centre Gogol, théâtre connu pour son indépendance et fermé par les autorités, une spectatrice se fait prendre en photo tenant une pancarte disant "Je ne fais pas la guerre", ce qui est également le titre de la pièce jouée ce dernier soir / AFP En février 2021, Serebrennikov avait été éjecté de son poste, quelques mois après avoir été condamné dans une affaire de détournements de fonds dénoncée comme une punition du pouvoir. L'un de ses collaborateurs, Alexeï Agranovitch, avait pris le relais, avant d'être lui-aussi remercié cette semaine."C'est injuste, ça fait très mal et ça ne devrait pas arriver, surtout au XXIe siècle quand on prétend avoir un pays et une société civilisés", affirme à l'AFP Ilia Vinogorski, un acteur de 22 ans présent jeudi au Centre Gogol."Serebrennikov, c'est un symbole de liberté", abonde Liza Maximova, une étudiante de 19 ans. "C'est avoir le choix de parler de ce qu'on veut, de parler de l'être humain, de ce qui est important pour nous."Après le spectacle, des spectateurs boivent dans la pénombre un dernier verre dans le café du Centre Gogol. D'autres se prennent en photo en tenant un panneau où est écrit "Je ne fais pas la guerre."Opposé au conflit en Ukraine, Kirill Serebrennikov a quitté la Russie fin mars et vit désormais en exil en Allemagne. Cruel contraste, il met en scène en juillet le spectacle d'honneur du festival d'Avignon, dans le sud de la France, le plus grand festival de théâtre au monde. Dès l'annonce du remaniement du Centre Gogol, il a dénoncé "le meurtre" de son projet artistique. Puis il a pris la parole pendant la dernière représentation du Centre Gogol, par visioconférence, depuis la Cour d'honneur du Palais des Papes à Avignon. "Nous sommes des gens pas du tout agréables pour le pouvoir", a-t-il lancé à son public. "Mais on va vivre longtemps et j'espère qu'on verra, un jour ou l'autre, la fin de la guerre et le début d'une belle Russie tournée vers l'avenir."video-bur/ia
RebeccaHampton et "le deuil" après l'arrêt de "Plus Belle La Vie". Sandrine Etoa-Andegue revient sur les événements marquants de l'année. Et
Nous avons étudié quelques exemples des pièces de théâtre existentialistes et absurdes. Mais pour ce post, je voudrais parler de théâtre existentialiste. L'existentialisme a été fonde par Jean-Paul Sartre, une philosophe français qui était populaire les années après la libération de la France et la fin de la deuxième guerre mondiale. L'existentialisme est l’idée qu'un est responsable pour son propre actions; notre existence n'est pas déterminé par le Dieu ou le Destin. Jean-Paul Sartre Sartre 1905-1980 était un écrivain, une activiste et un critique littéraire. Pour le classe, nous avons vu un documentaire pour achever un compréhension de sa vie, mais en plus, nous avons lu son pièce de théâtre, Huis Clos. Ce texte était amusant dans un façon d’appréciation sans moralité-je peux rire quand je pense à moi même comme un individu séparée et innocent de leurs crimes. J’étais un peu protégée par mon propre malentendu de l'histoire. Ce n’était pas jusqu'au conversation en classe que j'ai compris totalement les crimes, les deuxièmes histoires des personnages. J’étais choquée par leur indifférence vers leurs crimes, qu'ils ont parlé si casuellement d'en. Il n'y avait jamais des moments de remords et les gens, en particulière Garcin et Estelle, ont essayé d’éviter la culpabilité. Inès est un peu plus honnête, mais a mon avis, c'est afin qu'elle puisse critiquer les autres, Elle ne donne jamais les munitions aux autres pour se blesser. La grande ironie de ce texte est que tous les gens, spécifiquement Garcin, ont essayé d'ouvrier la porte, mais il ne réussit pas. A la fin quand la porte est ouvert, il et Estelle n'ont pas la courage de quitter la chambre ils ont peur de regarder en face d'une autre personne qui peut faire de jugement sur leurs caractères. Pour moi, c'est un type de damnation auto-infligé. Ils ont fait des mauvaises choses, des péchés et encore ils ont choisi l'enfer pour un deuxième fois. C'est une conception de la peur sans courage, sans la capacité de se lever l'au-dessus. Il y a un autre point dans le livre qui me rend étonné. Inès est une lesbienne ouvert. Elle ne cache pas sa nature et pendant l'action du texte, elle essaye de séduire Estelle. J’étais sur l'impression que la homosexualité n’était pas accepté par la société générale. Quand j'ai fait du recherche à Colette, il y avait un moment quand elle et une autre femme, Missy, ont partagé une bise passionnante dans une représentation la Rêve d’Égypte qui a inspiré une émeute. Mais j'ai un meilleur compréhension du temps après la deuxième guerre mondiale a la France et l'effet de Sartre sur le public. C’était un temps de liberté pour toute la France et il y avait un air de rébellion, de jeter tous les anciennes lois au dehors de la fenêtre. Inès et Estelle Nous avons aussi lu l’Hôte, par Albert Camus 1913-1960. Camus était un écrivain, un philosophe, une journaliste et un pair de Sartre. Pendant la guerre, il était un part de la Résistance et il a parlee pour la reste de son vie contre les idées du totalitarisme. Il a gagne le prix Nobel français et a écrit des essaies, des romans, des petites histoire et des travaux autobiographique. Il est mort tragiquement dans une accident de voiture quand il avait quarante-six. C'est lui qu'il a lance le début du théâtre absurde, mais je trouve l’Hôte d’être une combinaison des idées d’absurdité et d'existentialisme. Albert Camus La personnage principal dans l’Hôte est Daru, un professeur dans l’Algérie quand elle était un province de la France. Daru est une victime de circonstance. Il décide son propre titre et emploi, alors l’on ne peut pas trouver la faute. Il essaye d’aider les gens dans le village et fournit l’éducation française bien sûr, mais un type de connaissance importante pour la situation entre l’Algérie et la France. Mais il rejette tous les autres soucis dans la vie. Quand Balducci arrive et lui donne la tâche d’accompagner l’Arabe chez les autorités, il dit non, ce n’est pas ma responsabilité. » Il a raison mais Balducci laisse l’Arabe dans les mains de Daru pour prendre des décisions, donc le destin de l’Arabe devient sa responsabilité. Il a du respect pour l’Arabe comme un humain, mais il a peur aussi parce qu’il sait que l’Arabe est accusé du meurtre. Il offre de petites choses comme un hôte des repas, du thé, un lit, etc., mais il porte aussi un fusil pour sa protection. Il y a une situation polie mais la politesse est presque de fausseté parce que les deux hommes partagent les suspicions et le stress parce qu’ils sont tous les deux hôte mais aussi criminel et garde chacun. Encore, Daru espère que toujours s’il offre l’opportunité d’échapper, l’Arabe la prendra. C’est la dernière tentative passive de Dura pour éviter la tâche. Quand le temps arrive, Daru marche avec l’Arabe, mais quand ils arrivent à un point spécifique dans le chemin, Daru s’arrête. Il donne l’argent et les aliments à l’Arabe et il indique les deux chemins pour aller à Tinguit et au désert, à la liberté. Il offre le choix. C’est un moment important parce qu’il donne l’opportunité à l’Arabe de poursuivre la justice pour son crime. C’est une considération énorme de la part du Français vers un arabe mais aussi encore une autre option d’éviter la vraie responsabilité de prendre le criminel au Tinguit. Daru a des motivations mélangés mais honorables dans leur expression. L’absurdité et qu’il sera puni pour sa considération. "Albert Camus and the Cat Detective" par Clare Welsh
t0aY. 184 310 139 50 240 69 147 253 234
c était quand la dernière fois pièce de théâtre