Dou résulte le fait que nous ne soyons jamais allez en vacances, ou au restaurant par exemple. Mon homme n’a cesser de me promettre des choses (voyages, rencontre de mes parents et des siens ect) mais à ce jour rien ne s’est passeé. Récemment les parents de mon homme sont rester 1 mois en France chez lui et il a fait en sorte pour que sesUne personne vous plait vraiment mais vous ne savez pas du tout si cette attirance est réciproque et avant d’aller plus loin vous souhaitez savoir ce qu’il en est exactement. En effet, l’idée de se prendre un râteau ou de se ridiculiser face à quelqu’un qui ne nous laisse pas indifférente n’emballe pas grand monde ! Alors forcément vous doutez et vous souhaiteriez savoir ce qui se passe dans sa tête afin de mieux vous adapter. Même si cela vous semble être un véritable casse-tête, il n’est pas aussi compliqué de répondre à la question qui vous hante jour et nuit comment savoir si je lui plais ? Mais cela nécessite d’avoir un peu de recul sur la situation car dans ce domaine l’objectivité est essentielle ! Plus vous serez détachée de la situation et mieux vous pourrez y répondre. Mais pas facile lorsque l’on se sent seule depuis un moment, j’en ai conscience. Mais fort heureusement, lorsque l’on se demande lui plais-je réellement, il existe des petites astuces afin de connaitre le fond de sa pensée. Par contre sachez qu’ici je conseillerai uniquement les femmes qui veulent savoir si un homme est attiré. Rassurez-vous, il ne s’agit pas de discrimination, simplement j’ai déjà répondu aux hommes qui se demandent comment plaire à une femme et savoir si c’est réciproque dans cet article. Concernant ces petits signes qui démontrent si l’on plait à un homme, vous devez également savoir qu’ils ne sont pas identiques lorsque l’on est en couple avec la personne en question ou lorsque ce n’est pas encore le cas. En effet, dans ce genre de situation, soit vous êtes déjà ensemble mais vous ne savez pas réellement ce que votre moitié ressent ou alors vous êtes encore célibataire et vous souhaitez décrypter son attitude avant d’aller vers lui ou de lui envoyer des signaux plus évidents. Je vais donc reprendre les étapes essentielles pour comprendre un homme et décoder ses paroles ou son body language. A la fin de votre lecture vous ne vous demanderez plus comment savoir si on plait à quelqu’un qui nous attire mais comment séduire un homme qui nous plait ! Comment savoir si je lui plais ? L’une des questions les plus posées ! Avant d’entrer dans le vif, je tenais à apporter une petite précision qui ne va pas vous faire plaisir ! En effet, je considère que le fait de vouloir coute que coute reconnaitre les signes pour savoir si l’on plait à un homme qu’un homme peut avoir des répercussions négatives sur votre comportement. Cela peut par exemple vous pousser à avoir une certaine pression sur les épaules ou alors au contraire faire en sorte de vous relâcher totalement. Alors certes il est légitime de vouloir entrer dans les pensées de la gent masculine ou de se demander comment voir si on plait à un homme, mais il ne faut surtout pas en faire une obsession pour autant. Parfois, il est même inutile de se demander comment savoir que je lui plais car il est préférable de se focaliser sur son bien-être personnel ou sur le bien-être de l’homme qui se trouve face à vous afin de vivre sa relation amoureuse de la meilleure manière possible. Je prône en effet un certain naturel en matière de relation amoureuse et je considère qu’il y aura toujours des gestes, des paroles, des attitudes qui montreront bien qu’il est attaché à vous. Il est légitime de vouloir mesurer son attachement ou de se demander comment savoir s’il m’aime bien, mais sachez tout de même que les sentiments peuvent évoluer avec le temps donc paniquer parce qu’il n’est pas réceptif à vos signaux ne sera pas vraiment utile. Fixez plutôt une stratégie de séduction et poussez-le à s’engager à travers des actions vraiment efficaces. Pour être guidée pas à pas dans un processus de séduction, je vous propose de suivre ma formation comment séduire un homme et le faire s’engager ! Comment se mettre à la place d’un homme et savoir ce qu’il pense ? Comment savoir si je lui plais vraiment ? Comment être sûre que son attirance est sincère ? Vous n’aurez plus besoin de vous demander quels sont les signes que je lui plais car grâce à quelques actions vous prendrez les commandes et je vous garantis que c’est bien plus efficace et que vous vous sentirez beaucoup mieux dans votre peau. Toutefois je vous rassure, vous êtes loin d’être la seule à vous poser ces questions et à chercher des réponses. Chaque jour, des milliers de femmes consultent mes articles et me demandent exactement la même chose. C’est l’une des problématiques qui vous empêchent souvent d’avancer car vous ne savez pas encore sur quel pied danser avec lui. Vous savez ce type dont vous êtes folle amoureuse, qui vous fait chavirer mais qui sait aussi vous déstabiliser comme personne. Ce qui est quasi-certain c’est que de votre côté l’attirance est bien présente et vous avez envie que ce soit réciproque et c’est peut-être d’ailleurs ce qui vous rend aussi vulnérable parce que c’est lui et lui seul que vous voulez ! Savoir si on plait est effectivement un moyen de se rassurer que l’on soit un homme ou une femme d’ailleurs. Plus vous vous demandez est-ce que je lui plais et plus, en réalité, vous allez commettre des erreurs. Mais je reviendrai sur cet aspect plus loin dans l’article. Même si votre question est légitime, en réalité, ce n’est pas de cette manière que l’on va faire avancer soit sa séduction ou alors sa vie de couple. C’est en commençant à analyser les signes que je vous donner un peu plus bas que vous allez comprendre comment savoir si un homme est attiré, mais surtout en agissant pour le séduire que vous saurez ! mais attention je ne minimise pas l’importance de de savoir si je luis plais ou pas. Savoir si je lui plais pourquoi est-ce si important ? Effectivement, il est essentiel de se demander comment sait-on qu’on plait à un homme car cela peut permettre de gagner en confiance et de se mettre en position de femme fatale. Il y a des attitudes qui favorisent la séduction qu’il faut utiliser et autant l’avouer immédiatement, plus en s’aperçoit que sa cible ressent une attirance et plus on est à l’aise… Mais attention certains hommes masquent très bien leur jeu ! Mais ce n’est pas tout, il y a 3 autres raisons qui expliquent l’importance d’avoir une attirance réciproque. Après plus d’une décennie de coaching, je remarque que ce besoin de savoir quels sont les sentiments d’un homme à votre égard s’explique par 1/ La peur de s’engager dans une relation avec un homme qui ne va pas s’investir comme vous le souhaitez. C’est le grand problème des hommes, l’engagement et la volonté de construire quelque chose. Vous probablement déjà avez vécu une ou plusieurs histoires qui n’avançaient pas avec des hommes car ces derniers manquaient de maturité ou n’avaient pas les mêmes objectifs que vous. Par conséquent vous considérez que si un homme n’a pas le déclic immédiatement il n’aura pas le comportement adéquat, d’où l’importance d’obtenir très vite une réponse à la question comment voir que je lui plais. 2/ Savoir si on plait à un homme c’est aussi avoir le besoin de se rassurer sur sa fidélité. Beaucoup de femmes que j’ai pu coacher, considèrent, qu’un homme vraiment attiré ne va pas aller voir ailleurs. Qu’on soit encore dans la phase de séduction ou bien dans le couple, c’est un moyen de le contrôler » et de s’assurer qu’il restera dans le droit chemin ! Et il faut avouer que c’est un constat plutôt lucide sauf lorsque l’on se demande comment savoir si je plais à un homme marié car cela signifie que c’est le rôle de maitresse qui vous attend ! 3/ Attirance = Amour ? En réalité se demander comment savoir si je lui plais c’est se demander, pour beaucoup, est-il vraiment amoureux ? Parfois même alors que vous n’êtes pas encore en couple vous voulez qu’il tombe raide dingue de vous, un peu comme dans les films. Alors si c’est autant important il y a forcément une façon d’obtenir des réponses… Est-ce que je lui plais ? Les 5 signes à connaitre pour en être sûre Il y a 5 signes qui peuvent permettre de réellement savoir si un homme a des vues sur vous et si oui ou non son attirance est sincère et qui peuvent aussi permettre de savoir si c’est le bon ou pas. Une petite précision toutefois, il n’est pas nécessaire d’observer l’ensemble de ces signaux concomitamment. Si vous en observez déjà 2 c’est que vous avez toutes vos chances pour que ses sentiments soient présents et forts. Pour savoir si je plais à un homme je compte ses sms ! Quand un homme prend souvent de vos nouvelles, quand il commence à s’investir petit à petit, quand il prend l’initiative de vous envoyer les premiers messages le matin et le dernier message le soir, ce n’est pas anodin… Quand on se demande comment savoir si on plait à un homme, il ne faut pas s’attendre à une grande déclaration d’amour, notamment quand vous êtes toujours dans une phase de séduction car les hommes ont bien compris qu’ils ne doivent pas trop en faire sinon vous allez penser que tout est acquis et vous ne pourrez pas vous attacher. Il faut donc bien comprendre que pour les hommes, faire des efforts ce n’est pas avouer ses sentiments c’est surtout se montrer présent et ne pas forcément trop en faire même si c’est peut-être ce que vous attendez. Mais il faut aussi éviter de casser la séduction naissante car le moindre faux pas et tout peut s’effondrer. Il est donc préférable de s’attacher aux petites attentions et observer s’il prend soin de vous poser des questions sur vous. Comment savoir si je lui plais vraiment ? Le regard qui veut tout dire… Habituellement je suis fan des citations sur les ex. Mais il y a une citation que je trouve magnifique et qui correspond parfaitement au contexte évoqué dans cet article, c’est-à-dire lorsque l’on se demande comment savoir si l’on plait à un mec. La voici il est inutile de parler quand on a un regard qui en dit long ». Je pense que l’on ne peut pas faire plus clair ! Alors à vous d’analyser la situation quand un collègue de bureau qui vous fixe, lorsqu’un ami ne regarde que vous lors d’une soirée, ou quand vous croisez un bel inconnu. Le langage corporel en dit parfois beaucoup plus qu’une déclaration d’amour. Il est difficile pour un homme de venir vers vous et de vous dire ce qu’il pense, d’exprimer clairement son intérêt. Alors, le message se transmet d’une manière différente mais les émotions sont aussi fortes. Quand vous sentez une alchimie sans même vous parler que ce soit par le regard mais également le sourire, alors à ce moment-là on pourra parler d’une réelle attirance qui ira dans les deux sens. Et vous pourrez ainsi prendre les choses en mains pour le séduire. Savoir s’il est attiré parce qu’il veut vous voir ! Parfois, vous ne devriez même pas vous demander est-il attiré par moi ? » tellement la réponse est évidente. Cependant, à cause du passé douloureux et des connards sur lesquels vous êtes tombée, ou bien par manque de confiance en vous, vous avez un énorme besoin d’être rassurée et vous ne voyez pas les signes ou plutôt vous doutez. Vous vous demandez mais est-ce que j’ai vu ? » ou mais est-ce que j’ai bien compris ? » ou encore peut-être que je me fais des films ? ». Cependant, vous devez avoir conscience qu’un homme qui souhaite passer du temps avec vous, que ce soit à l’extérieur ou chez vous, qui vous demande si vous souhaitez sortir c’est un homme qui est attiré. Attention, je ne dis pas qu’il est fou amoureux et qu’il va réaliser tous vos rêves mais il peut se passer quelque chose entre vous ! En tout cas vous êtes sur la bonne voie… Comment savoir si on plait à un mec ? Ecoutez-le ! Il veut vous voir, il vous regarde et il prendre des initiatives pour communiquer avec vous. C’est parfait ! Mais il manque tout de même un petit quelque chose… Oui, il manque la parole directe. Parce que les sms c’est génial mais entendre des mots agréables sortir de sa bouche c’est encore mieux. Pour la majorité des hommes il n’est pas simple de se livrer, c’est notamment la raison pour laquelle énormément de femmes se demandent comment savoir si on plait à un homme timide. Alors lorsque que ce dernier vous fait des aveux sur ce qu’il ressent c’est un signe fort. Mais ce n’est pas tout. Un homme qui vous complimente, qui vous flatte, qui remarque les petits changements comme votre nouvelle coupe de cheveux, votre nouveau maquillage ou d’autres petits détails, ça cache forcément quelque chose, et en général ce sont des sentiments. Savoir si je l’attire quand on est déjà en couple le truc à savoir ! Cet article sur le thème de comment savoir si je lui plais ne concerne pas uniquement les femmes qui sont célibataires ou qui ont des vues sur un homme mais également celles qui sont déjà en couple et qui ont des doutes ou des craintes. L’un des moyens pour se rassurer consiste à se baser sur ce que vous faites à deux, c’est-à-dire sur la complicité dans le couple et plus particulièrement les projets communs. J’ai récemment coaché une femme qui venait d’être présentée à la famille de son compagnon mais qui me demandait toujours s’il était attaché. Dans cette situation, et je sais que beaucoup d’entre vous s’y trouvent, il faut savoir ouvrir les yeux et accepter que même si tout ne vous convient pas il fait des efforts. Quand un homme vous inclue dans des projets, quand il vous montre que vous comptez pour lui alors vous avez la réponse à vos questions ! Maintenant que vous connaissez les principaux signes pour savoir si on plait à un homme, vous devez également comprendre qu’il existe des erreurs à éviter. En effet, le fait qu’il existe une attraction entre vous n’est pas suffisant et vous devez aller plus loin encore. Si jamais les choses ne sont pas tout à fait claires pour vous, j’ai créer une formation audio d’une heure avec un guide pratique que vous retrouverez ici. Comment savoir si on plait à un homme les erreurs à ne pas faire ! Se demander comment savoir si un homme est attiré par vous quand vous êtes vous-même sous le charme conduit parfois à faire des erreurs dramatiques. Il ne faut donc surtout pas s’arrêter à la question comment savoir si on lui plait et il faut pousser l’analyse un peu plus loin. La première de ces erreurs est celle qui est peut-être la plus importante consiste à confondre attirance et amour. Je vous le garantis et vous met en garde par la même occasion, un homme ne tombera pas amoureux sans être en couple avec vous ou bien après quelques semaines de relation seulement ! Il en faut bien plus pour qu’il ressente quelque chose de fort et qu’il souhaite aller plus loin. Au mieux, ce sera plus de la passion qu’autre chose, mais le risque c’est que celle-ci redescende car c’est aussi dangereux puisque rien n’est stable. Il ne faut donc pas baisser les bras s’il ne vous dit pas je t’aime » rapidement. Cela ne signifie donc pas que vous ne lui plaisez pas mais simplement qu’il faut laisser un peu de temps. L’une des choses à ne pas faire quand on se demande comment savoir si je plais à un homme c’est également attendre qu’il agisse exactement comme vous le souhaitez. Non seulement les hommes pensent et se comportent différemment des femmes mais vous n’avez pas la même personnalité, vous n’êtes pas attirée par votre clone et par conséquent vous devez accepter vos différences et donc ses comportements qui peuvent ne pas correspondre à vos attentes. Les hommes mettent en général plus de temps à s’adapter donc inutile de paniquer pour autant. Faites le lui comprendre à travers vos attitudes. Pour cela mettez un peu de distance et observez le, il reviendra vers vous au plus vite. Il est évident qu’il va dire, faire des choses qui ne sont pas identiques à vos attentes cela ne veut pas dire qu’il ne tient pas à vous ou bien qu’il ne souhaite pas s’engager. Inutile donc de tout remettre en question et de vous demander quotidiennement comment savoir si je plais à un homme qui me plait. En laissant les choses se faire naturellement et en le laissant respirer un peu vous vous apercevrez de ce qu’il ressent à votre égard. Et si cela prend trop de temps ou que ça ne correspond à vos attentes, n’hésitez pas à réserver une séance de coaching personnalisé avec moi ou un avec un coach de mon équipe. Si vous souhaitez faire par vous-même mais bénéficier tout de même d’un petit coup de pouce, visitez ma boutique, vous trouverez forcément une formation qui répondra à vos attentes. Amicalement Le coach pour savoir si je lui plais Alex Cormont
Maisavec lui, je perd toute confiance en moi, je ne me sens plus désirée. L'ombre au tableau est que j'ai découvert qu'il se mastrubait alors qu'il me touche à peine. On en a bcp parlés mais il n'a pas de réponses à me donner..Pourtant, il jure qu'il maimeAu final, je n'ai pas de conseils à te donner. Je voulais juste te dire que tu“La colère ne résout rien, ne construit rien, mais elle peut tout détruire.” – Anonyme Une majorité de gens pensent que la colère est une émotion naturelle à ressentir. Après tout, il est normal de se mettre en colère une fois de temps en temps. Vous avez parfaitement le droit d’être en colère, lorsque les choses ne vont pas comme vous le voulez. Mais je ne partage pas cet avis. Bien qu’il n’y ait pas de mal à se mettre en colère après tout, il n’y a pas de bonnes ou mauvaises émotions, la colère n’a pas à être une option. Tout comme vous choisissez d’être en colère, vous pouvez aussi choisir de ne pas l’être. Vous pouvez résoudre vos problèmes de la même manière, voire mieux encore, sans faire parler votre colère. Dans l’article d’aujourd’hui, nous allons voir les méthodes conscientes qui permettront d’anticiper votre colère, ainsi vous délaisserez peu à peu ce sentiment très destructeur. Voici d’ailleurs une infographie récapitulative des effets physiques de la colère cliquez pour agrandir Je ne parlerais donc pas ici de “gestion de la colère” ou bien de son “contrôle”, qui ne sont que des solutions à court terme. Ce guide vise à résoudre durablement les problèmes de colère, ce qui devrait être un objectif majeur dans notre vie. Au programme de cet article Étape n°1 Reconnaître quand vous êtes en colèreIl existe plusieurs stades de colèreÉtape n°2 Sachez reconnaître vos déclencheurs de colèreÉtape n°3 Creusez vos déclencheurs de colèreExemple 1 Parler à des gens grossièresExemple 2 Voir des personnes âgées se faire maltraiterLes déclencheurs de colère et les événements passésÉtape n°4 Libérez-vous de la colèreÉtape n°5 Cessez de générer de nouvelles colères en vous libérant de vos attaches Étape n°1 Reconnaître quand vous êtes en colère Contrairement à ce que beaucoup pensent, la colère n’est pas limité qu’aux moments où vous perdez votre sang-froid et éclatez de rage. La colère commence au moment où vous accumulez des émotions négatives à propos de quelque chose ou de quelqu’un. Plus vous vous sentez malheureux ou triste, et plus la colère boue à l’intérieur de vous… jusqu’à ce que le vase déborde et que vous ne pouvez plus retenir cette émotion plus longtemps. Il existe plusieurs stades de colère Cela signifie que si vous vous sentez souvent irrité ou frustré, c’est comme si vous aviez une bête enragée à l’intérieur de vous, qui n’attend que d’être libérée. Vous êtes cette bombe à retardement, prête à exploser à tout instant. Tout ce qu’il vous manque c’est a le mauvais stimulus ou b suffisamment de frustration accumulée, pour éclater de colère à propos de quelqu’un ou de quelque chose. Voici une échelle des différents stades de colère, qui vous aidera à être plus consciente de votre colère. Pourrez-vous reconnaître ces différents stades en vous ? Niveau 0 Sérénité. C’est un stade où la colère n’existe pas. Vous ressentez un sentiment de paix et d’apaisement. Niveau 1 L’irritation. C’est le premier niveau de colère. Ici, vous pouvez ressentir un léger sentiment d’agacement, mais il reste répressible. Si vous êtes très colérique, vous pouvez sauter ce niveau et passer directement aux niveaux 3, 4 ou 5. Niveau 2 Frustration. C’est le point intermédiaire entre le léger agacement et la vraie colère niveau 3. Vous êtes frustré et ça se voit. Il est plus difficile de nier votre frustration comparé au niveau 1. Niveau 3 La colère. Votre frustration s’est accumulée au point où vous ressentez actuellement de la colère. Non seulement ça, mais votre frustration est telle qu’elle se manifeste maintenant physiologiquement. Vous pouvez sentir votre cœur battre plus vite et votre corps tout entier s’échauffer. Niveau 4 Furieux. Un profond état de colère. Vous êtes bien énervé à ce point. Alors que vous vous sentez en colère, vous n’avez pas encore perdu le contrôle… pour l’instant. Vous êtes encore lucide et capable de contrôler vos actions mais pour longtemps, cependant. Un autre stimulus et vous êtes prêt à tout casser. Niveau 5 La rage. Ça y est, vous avez perdu le contrôle ! Vous voyez rouge et rien ne peut vous empêcher de vous en prendre violemment aux autres. C’est l’état où vous dites et faites des choses que vous ne feriez normalement pas, dans un accès de colère. À quel niveau vous vous situez habituellement ? A quelle fréquence vous entrez dans chaque niveau ? Quel est le plus haut niveau que vous avez atteint ? Indépendamment de votre réponse à chacune des questions, vous devriez vous efforcer d’atteindre le niveau 0, parce que c’est notre état naturel d’être. Personne n’est né avec un esprit en colère. La seule raison pour laquelle nous ressentons de l’irritation, de la frustration, colère ou rage dans notre for intérieur est soit a à cause du passé, des événements refoulés qui nous restent en travers la gorge ou b une manière de penser erronée. Le point a sera traitée dans les étapes n°2 à n°4, tandis que le point b sera corrigée à l’étape n°5. Étape n°2 Sachez reconnaître vos déclencheurs de colère Connaissez-vous vos déclencheurs de colère ? Savez-vous ce qui vous rend en colère ? Ce qui vous met hors de vous ? Ce que vous n’arrivez pas à supporter ? Durant les deux minutes qui suivent, j’aimerais que vous fassiez une liste de choses qui Vous irritent ou vous frustrent ex les transports publiques qui ont du retard, les mauvais services clients, les personnes négatives, ou irrespectueuses, Vous rendent furieux ex l’injustice envers les faibles, les agresseurs/violeurs ou hypocrites Qui vous font exploser instantanément par exemple, le crissement de la craie sur un tableau noir. Maintenant durant le reste de la journée, observez votre réaction à tout ce qui se produit autour de vous. Lorsque vous vous sentez irrité ou en colère, notez le déclencheur et ajoutez-le à votre liste. Essayez de repérer autant de déclencheurs de colère que vous le pouvez. Cela vous permettra de prendre conscience de déclencheurs auxquels vous ne faisiez peut-être pas attention jusqu’ici, et qui peuvent se reproduire tous les jours. Des choses qui ne vous mettent pas forcément en colère, mais qui réussissent à coup sûr à vous irriter ou vous frustrer. Au-delà de cela, vous découvrirez également des déclencheurs plus profonds, sur lesquels vous êtes très chatouilleux. Certaines personnes ou situations qui peuvent vous mettre instantanément en colère, car elles sont contraires à vos valeurs. Comme par exemple, de ne pas supporter les personnes hypocrites/fausses dans une discussion, ou bien les gens qui arrivent tout le temps en retard. Faire cette liste vous permet de reconnaître les choses qui vous mettent en colère, notamment celles qui sont contre vos plus grandes valeurs. Cela vous permet ainsi d’anticiper des situations qui vous mettraient hors de vous, en pouvant alors les traiter plus consciencieusement. Étape n°3 Creusez vos déclencheurs de colère “Tout ce qui nous irrite chez les autres peut nous amener à en savoir plus sur nous-même.” – Carl Gustav Jung Après avoir réalisé votre liste de déclencheurs de colère, creusez chacun de ces déclencheurs pour découvrir leurs causes cachées. Utilisez cet exercice pour découvrir pourquoi telle ou telle situation vous met en colère. Pour chaque déclencheur, demandez-vous “Pourquoi cela me met-il en colère ?” Notez la réponse sur une feuille et répétez la question jusqu’à ce que vous atteignez le fameux moment de réalisation lorsque vous aurez trouvé la cause de votre colère. Cette cause découverte est à l’origine de votre colère. Par exemple, imaginons qu’après avoir fait l’étape n°2, vous vous rendez compte que vos déclencheurs de colère sont a parler à des gens grossiers et b de voir des personnes âgées maltraitées. Creusons-les chacun séparément. Exemple 1 Parler à des gens grossières “Pourquoi avoir affaire à des personnes impolies me met en colère ?” ⇒ Parce qu’ils sont détestables. “Pourquoi cela me met en colère ?” ⇒ Parce qu’ils sont irrespectueux. “Pourquoi cela me met en colère ?” ⇒ Parce que je me sens dévalué, méprisé. “Pourquoi cela me met en colère ?” ⇒ Parce que cela me rappelle mon enfance, quand les enfants à l’école ne me respectaient pas. Ils ne faisaient pas attention à moi, et se moquaient même de moi sans raison. Je me sentais complètement stupide et inutile à ce moment-là. Ici, vous remarquez que ce qui vous met en colère face aux personnes grossières est lié à votre enfance, lorsque vous avez été traité rudement par vos camarades de classe. Dans ce cas, c’est le déclencheur sous-jacent de votre colère. Exemple 2 Voir des personnes âgées se faire maltraiter “Pourquoi voir des personnes âgées se faire maltraiter me met en colère ?” ⇒ Parce que c’est un acte d’atrocité. “Pourquoi c’est une atrocité ?” ⇒ Parce que les personnes âgées sont faibles. Elles devraient être protégés, pas maltraitées. “Pourquoi les voir se faire maltraiter me met en colère ?” ⇒ Parce que cela me rappelle que les personnes sans défense devraient être protégées, mais qu’elles ne le sont pas en réalité. “Pourquoi cela me met en colère ?” ⇒ Parce qu’il y a eu des moments où je me suis senti impuissant, mais personne ne m’a protégé. Ici, vous avez découvert que votre colère envers les gens qui maltraitent les personnes âgées est liée aux moments où vous n’avez reçu aucune aide, même si vous en aviez besoin. C’est la véritable raison pour laquelle vous vous mettez en colère lorsque vous voyez des personnes âgées se faire maltraiter plus que toutes les raisons évoquées auparavant. Les déclencheurs de colère et les événements passés Au fur et à mesure que vous explorez chacun des déclencheurs de colère, vous pouvez remonter à un événement passé, comme nous l’avons fait dans les deux exemples ci-dessus. Ainsi, votre comportement suggère que vous avez gardé du ressentiment et de la colère d’un événement passé. Ce ressentiment et cette colère n’ont jamais été résolu, c’est pour cela que vous continuez à vous sentir en colère dans ces situations qui ressemblent à ces événements passés. Événements qui sont terminés depuis bien longtemps. Ce qui nous amène à la prochaine étape, qui est… Étape n°4 Libérez-vous de la colère “Pardonner c’est comme libérer un prisonnier, puis découvrir que ce prisonnier c’était vous.” – Lewis Smedes En ayant maintenant découvert l’origine de votre déclencheur de colère, il est temps de vous en libérer. La première étape est d’identifier les injustices ou griefs que vous ressentez encore en repensant à cet événement passé. Par exemple, imaginons que l’un de vos amis a brisé une promesse qu’il vous a faite l’année dernière, et que vous ressentez encore de l’amertume en y repensant aujourd’hui. Pourquoi êtes-vous encore en colère contre lui ? Quels sont les reproches que vous avez à lui faire ? Peut-être êtes vous en colère parce qu’il n’a pas fait ce dont il a promis. Peut-être êtes vous en colère parce qu’il n’a pas répondu aux attentes que vous aviez de lui. Peut-être êtes vous en colère parce qu’il n’est pas la personne que vous croyiez. Peut-être également que ce qui vous a mis en colère, c’est parce que vous pensiez que vous partagiez une connexion spéciale. Et que vous auriez aimé qu’il accorde plus d’importance à votre amitié, en se rappelant et en honorant sa promesse. À partir de là, travaillez sur les reproches que vous lui faites, un à la fois. Si vous êtes en colère contre votre ami parce qu’il n’a pas réalisé sa promesse, demandez-vous Pourquoi avez-vous de telles attentes envers lui ? Pourquoi accordez-vous tant d’importance à la satisfaction de cette promesse ? Est-il un bon ou mauvais ami, juste parce qu’il ne s’est pas conformé à ce que vous attendiez de lui ? Êtes-vous honnête et juste avec lui, en l’évaluant sur ce critère ? Si vous êtes en colère contre votre ami, parce qu’il vous pensez qu’il ne vous accorde pas assez d’importance pour réaliser sa promesse, demandez-vous Est-il vraiment vrai qu’il ne vous a jamais considéré comme un ami ? Ou bien est-ce simplement votre conclusion ? Comment pensez-vous qu’il voit cette amitié ? Affrontez vos suppositions et croyances au fur et à mesure que vous creusez vos reproches. La majorité de ces reproches sont le résultat d’une erreur dans votre façon de penser, ou bien que vous n’avez pas une vue d’ensemble concernant la situation. Lorsque vous découvrirez l’élément fautif dans votre réflexion, qui vous a conduit à penser cela, alors vous vous libérez rapidement de votre colère. Étape n°5 Cessez de générer de nouvelles colères en vous libérant de vos attaches “La paix vient de l’intérieur. Ne la cherchez pas à l’extérieur.” – Buddha Au fur à mesure que vous traitez les “anciennes” colères de votre passé, faites aussi la promesse de ne pas créer de nouvelles colères dans votre esprit. Cela signifie que si vous affrontez des situations ou des personnes qui enfreignent / bousculent vos valeurs, ne vous mettez pas en colère. Acceptez que les choses ne soient pas comme vous voulez, au moins à ce moment-là. Acceptez qu’il y ait des différences entre la réalité et ce que vous voulez. Puis, concentrez-vous sur la recherche, voire même la création, de solutions. Nous pouvons croire que nous sommes en droit de ressentir de la colère, mais alors c’est se laisser diriger par des réactions plutôt que par la réflexion. Il y a une autre voie possible au-delà d’être en colère ou d’ignorer notre colère c’est de ne pas être en colère du tout. Lorsque vous êtes en colère, vous êtes comme un fou portant une camisole de force qui s’est jeté de l’essence dessus, puis s’est mis le feu. Vous vous agitez en essayant de blesser les autres avec les flammes sur votre camisole – et vous finissez probablement par blesser une ou deux personnes dans le processus – mais la seule personne que vous finissez par blesser, c’est vous-même. Pour supprimer définitivement la colère de votre vie, vous devez prendre la décision d’arrêter d’être en colère, en même temps que vous démontez peu à peu vos colères passées. Cela veut dire laisser tomber les attaches du passé. Cela signifie ne pas espérer que les gens se conforment à vos attentes. Cela signifie apprendre à accepter que la vie n’est pas un long fleuve tranquille, et que cela fait partie de ses particularités. Avez-vous décidé vous aussi d’abandonner votre colère ? Dites-nous tout dans les commentaires ! Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager avec votre entourage ! Pour aller plus loin Exprimer sa colère sans perdre le contrôle, Didier Pleux. Vous avez apprécié l'article ? Notez-le ! Noté pour 335 votes Nous sommes désolé que cet article ne vous ait pas plu ! Comment pouvons-nous l'améliorer ? Merci pour votre retour ! The following two tabs change content articles Jeune hypnothérapeute passionné de développement personnel, je vogue sur le web pour vous transmettre les meilleures méthodes pour changer de vie. Visez l'excellence, et renouez aujourd'hui avec votre fabuleux potentiel ! Votre commentaire peut ne pas être affiché immédiatement, il pourra alors être publié après validation par l'administrateur.
moije ne me sens pas bête, mais inculte. Ou alors je n'émets aucun avis sur la discussion en cours. Anonymous1729936 Super article!Pour ma part, je suis styliste pour une boite connue, je n'ai ni mon brevet, ni mon bac. Je n'ai jamais réussi un seul examen. (mis à part le permis, et du premier coup, dont je pensais que l'examinateur sLe deal à ne pas rater Cartes Pokémon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal Le Bazarazyn Abraham AuteurMessageMélusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Be yourself, everyone else is already taken Dim 5 Jan - 1314 •• Be yourself... ••Samedi 12 janvier 1980Ministère de la Magie - niveau 6Département des transports magiques Oops ! Pardon ! Désolé désolé ! »Assailli de toute part par des étrangers n'ayant aucun respect pour son espace personnel vital Merlin qu'il détestait que des inconnus le touchent !, Abraham se répandait en excuses, au petit bonheur la chance. C'était qu'il n'avait pas intérêt à chatouiller de trop près la mauvaise humeur de la mauvaise personne. L'un ou l'autre de ces coincés du chaudron, qui se ruaient droit devant eux au mépris des libertés de chacun, sans même jeter un regard derrière eux, non mais vraiment, quelle éducation... l'un ou l'autre, bref, pouvait se révéler être un de ces diplomates en puissance dont le courroux équivalait à la confiscation de sa baguette, trois mois fermes à Azkaban ou pis, l'interdiction à vie de s'approvisionner en jus de à mesure que ses excuses s'égrenaient et restaient sans réponse enfin, quoi, pas même un regard, un sourire, un "ce n'est rien, jeune homme", la bonne volonté de l’Écossais commençait à s’essouffler. Le respect envers ses aînés, précepte sacro-saint de l'éducation de sa mère, il voulait bien donner, mais si ça n'était pour récolter que du mépris, autant retourner cultiver ses citrouilles ! Au diable les bonnes manières et la politesse de façade ! Il n'avait jamais aimé ça de toute façon. Ça n'était jamais rien d'autre que de l'hypocrisie déguisée. Et Abraham était plutôt du genre allergique à l'hypocrisie. Il rangea donc ses bons mots dans un petit coin, bien au chaud, ça pouvait toujours servir plus tard, rentra les épaules, plaqua un air peu amène sur son visage et rentra dans le jeu de tous ces autres qui filaient se faire engloutir par les dédales du foule l'emmena bien loin de l'atrium, en oubliant de lui stipuler où exactement. Quelle idée de ne pas distribuer des plans à l'entrée du bâtiment ! On lui avait déjà imposé le trajet en cabine téléphonique, l'étape de la fouille il y avait des moments plus agréables que celui-là, dans la vie, foi de McCamlhan !, et maintenant, l'épreuve du labyrinthe... Eh quoi ? C'était un test d'intelligence ? Une sorte de sélection naturelle ou pas naturelle du tout, selon les points de vue ? Vous n'êtes un vrai sorcier que si vous sortez vivant d'ici ? Vivant et sain d' pas tss ! Va te faire enregistrer au Ministère », qu'on lui avait dit !C'était que, pour utiliser le réseau de cheminette au-delà du continent grand-breton, il fallait une petite autorisation, genre, un raccord spécial. Et probablement une poudre de cheminette un chouïa plus puissante. Qui savait ? Peut-être celle-ci ferait-elle les flammes rouges...ce serait tellement plus seyant, dans son âtre. Personne n'avait-il donc eu le temps de se consacrer à la question de la couleur des poudres de cheminette ? Il y avait pourtant là un créneau carrément intéressant ! Tout ce vert finissait par être un peu banal...Sans trop savoir comment le hasard, très probablement. Abraham ayant un sens de l'orientation absolument déplorable., il finit par rallier le niveau 6 et, chose plus étonnante encore, par dénicher le Département des Transports Magiques. Là, il poireauta une bonne petite demi-heure, prit son mal en patience, compta les plantes verts sept, les affiches publicitaires seulement trois, les propagandes pro-ministérielle trente-huit, les allées-et-venues cent soixante-quatorze personnes, dont quatre-vingt-dix-huit femmes, soixante-treize hommes, deux enfants et un fantôme, les dalles au sol, etc...Enfin, une dame minuscule sérieusement, elle devait à peine atteindre le mètre vingt, les bras levés sembla s'intéresser à son cas. Environ deux minutes, avant de lâcher son verdict Désolée monsieur McCalmar... » Camlhan » pourquoi fallait-il que tout le monde écorche toujours son nom ? Oui. Bref. Monsieur McCalmant. Je ne peux rien pour vous. SUIVANT ! »Tout ça sous prétexte que son passeport n'était pas à jour. Or, il lui fallait des papiers en règle pour être habilité à utiliser le réseau de cheminette international. Jusque-là, il s'était organisé à la va-comme-je-te-pousse, attrapant un portoloin ou squattant chez un collègue pour quelques jours. Mais depuis que sa période probatoire à Pumpkin's Planet » s'était transformée en un véritable emploi ô joie ! Halléluja ! Que soient bénis Merlin, Morgane et Agrippa ! Un vrai job rien qu'à lui, en plein air et sans trop de magie sous les doigts !, il lui fallait clairement régulariser sa situation, histoire de pouvoir faire ses petits allers-retours quotidiens. Rendez vous donc aux Services Administratifs du Magenmagot. », se résolut à lui lancer l'hôtesse d'accueil, le prenant sans doute en pitié devant son air de chien battu. C'était qu'il faisait très bien le chien compassion avait toutefois des limites puisqu'elle se détourna malgré tout, pour faire face au grand type maigrichon qui s'avançait à son tour, un énorme dossier sous le bras. Sans même lui préciser où diantre pouvait bien se trouver ce foutu service nerfs vaguement aiguisés par l'impatience et la lassitude, Abraham se détourna afin de reprendre son errance dans cette fourmilière bien trop organisée pour sa cervelle d' ce qui devait arriver Étage n°174, couloir 245 658, département des brebis égarées, Abraham McCamlhan, bienvenue !Si seulement il y avait une petite voix pour m'indiquer où j'en suis, au lieu de déambuler au petit bonheur la chance dans ces couloirs sans fin. Les quelques pèlerins que je croisai sur ma route avaient l'air aussi perdus et hagards que moi. Ou alors tellement concentrés, se donnant l'air important, que je n'osai les couloirs, détours, retours, portes, bureaux, ascendeurs... comme une litanie folle et ce qui me sembla des heures et des heures probablement pas plus d'une trentaine de minutes, en réalité, un fragment de conversation, capté d'une oreille distraite, me fit sursauter. Là, ce type, j'étais presque sûr qu'il avait parlé d'un service administratif, niveau 2. Il devait s'y rendre. Urgemment. Une affaire de procès en cours qu'il fallait reporter. Whatever. Rien à faire des détails, il se dirigeait droit sur ma cible et moi, je n'avais plus qu'à le suivre !Je vous passerai les détails du trajet emprunté, des conversations tronquées qui frappèrent mes oreilles, des quelques secrets d'état que je surpris au passage non, là, je plaisante. Qu'il soit seulement dit que mon petit monsieur m'entraîna sans le savoir jusqu'à ce fameux niveau 2. Que je le perdis quand un groupe de secrétaires nous croisa en jacassant. Mais qu'importe ! J'étais plus près de mon but que je ne l'avais jamais été !Mon sourire était revenu se coller sur mon visage et j'avançai avec optimisme, droit devant moi, me fiant à mon instinct. J'avais beau avoir galéré comme un fou jusqu'à présent, j'étais désormais confiant. Mon calvaire touchait à sa fin et, pour me défouler, je n'aurais qu'à attraper batte, cognard et balai en rentrant pour aller me faire une petite session quidditch en solitaire, histoire de me souvenir des entraînements de passer le temps et ponctuer mon chemin d'un peu de fantaisie, je m'amusai à lire les noms sur les plaques qui tapissaient les murs. C'était fou comme un bout de bronze gravé pouvait rasséréner les egos de Pond, Alastor Maugrey, Jeremiah Stanislaski... Bureau des Windham, Sullivan Cameron, William O'Brian, Zoé H. Peverell, Eloïse Macnair, Eden Gardens ... Brigade de Police Magique.* Mouhaha, Eden Gardens... Le jardin d'Eden... Il y a des parents qui ont de l'humour ! *Trèfle Greengrass, Finlay E. McBain, Eanna-Rose D. O'Neill,... Brigade des Tireurs d'Elite. Murtagh McEwan...* Minute... *Finlay E. McBain ?Je me fendis de deux pas en arrière. Fin ? »Finlay ? Mon Finlay à moi ? Le Finlay des jours heureux ?Je clignai des yeux trente-six mille fois, histoire de vérifier qu'ils ne m'avaient pas abusé. Perdu de vue depuis quelques temps déjà et voilà que boum ! Il me revenait à l'endroit le plus inattendu qui soit !Aurais-je seulement pu résister ?Bien sûr que non !Je pris un air sûr de moi et pénétrai dans les quartiers des tireurs d'élite. Eh quoi ? Je n'allais pas faire le pied de grue, gentiment, bêtement, en attendant qu'il sorte. Imaginez qu'il soit accompagné et qu'il ne remarque même pas mas présence... Imaginez qu'il ne soit tout simplement pas là... L'air de rien, donc, je furetai dans leur On me jeta bien quelques regards en coin mais j'ai toujours eu l'air inoffensif...pour mon plus grand malheur. Mais c'est une autre là, au détour d'un box, un bureau. Reconnaissable entre tous. Les photos accrochées au mur confirmèrent mon sentiment premier j'avais trouvé le bureau de Finlay. Mais de McBain, point à l'horizon. J'aurais bien sûr pu me renseigner mais ça aurait été avouer que j'étais un intrus, et, tant qu'on ne me foutait pas dehors, je comptais bien profiter de tout mon souris à une ou deux images de la famille McBain qui convoquèrent tout un flot de souvenirs, hétéroclites et heureux. Les souvenirs d'enfance sont souvent les plus beaux, teintés d'une mélancolie douce-amère. A ce moment précis, j'aurais donné baguette pour ce qu'elle me servait..., balai et chaudron pour revenir quinze ans en arrière. M'enfin ! L'esprit a peut-être des pouvoirs mais pas à ce point-là...Et maintenant ? Que faire ?Je ne pouvais décemment pas partir comme j'étais venu, un mot ? Erk. Un, tout le monde pourrait le lire et deux, quoi écrire ? Sans compter que trois, je n'avais jamais raffolé des lettres et autres blablas Je voulais déposer un message, mais un message à ma il se trouvait que j'avais ma petite idée sur le comment et le étions le deuxième week-end de janvier. Et alors, me direz-vous ? Et alors, bande d'incultes, ce fameux deuxième week-end de janvier était synonyme de liesse, pour la communauté sorcière de l'Aberdeenshire. On y célébrait je-ne-savais-plus-quel-événement probablement un sorcier qui y avait découvert une nouvelle façon de touiller les chaudrons et pendant deux jours, c'était animations, jeux, banquets et autres joyeusetés. Mes sœurs et moi ne manquions jamais une occasion d'aller nous y encanailler. La famille McBain non plus. Je ne comptais plus les parties de rodéos de dragons, lancers de troncs d'arbres sport national écossais, mes enfants, balai-crosses, water-Quidditch, courses enchapeautées et autres citrouilles-explosers que nous avions partagé, sous le regard indulgent des adultes. Surtout les citrouilles-explosers ! C'était il y a longtemps. Certes. Comme si ça m'empêchait de rêver d'y aller. Mais seul, ça n'était pas si drôle..En prenant garde de ne pas faire de gestes brusques un binôme de tireurs d'élite paradait à quelques pas de moi et ce n'était probablement pas une trèèèèèèèèèèèès bonne idée de provoquer des fous furieux de la baguette, je sortis une citrouille miniature d'une de mes nombreuses poches et la déposai délicatement sur le bureau de Finlay. Tout aussi lentement, doucement, je la saupoudrai d'un peu de poudre bleuâtre, sortie d'une Pumpkins' Planet, Laurent, un de mes collègues accrédité au service recherche et développement » avait mis au point une nouvelle forme d'engrais magique. Essayait de mettre au point » serait plus exact. Il m'avait remis quelques échantillons, à essayer loin des yeux de la fille du patron. Ma poudre bleuâtre était de ceux-là. Et puis, baste, il fallait vivre dangereusement !Avant que la citrouille n'ait pu prendre des dimensions exponentielles, je m'esquivai sans faire de sur la façon dont je parvins enfin à régulariser ma situation. Il n'y avait rien de palpitant dans ce à titre informatif, sachez que pas plus tard que le soir même, alors que le soleil s'était déjà couché sur les Hautes Terres d'Ecosse, j'avais enfilé mon plus beau kilt et rallié l'Aberdeenshire Sorcerers' Festival c'était le nom de cette petite sauterie aux allures de bacchanale.A bon entendeur... MélusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Re Be yourself, everyone else is already taken Dim 19 Jan - 2212 Assis sur une vieille chaise en cuir décrépi qui traînait sans doute au Ministère depuis quelques siècles au vu de son inconfort, Finlay tentait tant bien que mal d’écouter Gustav Manner sans lui manquer cruellement de respect et de lui somnoler au visage mais enfin, son assoupissement ne relevait pas complètement de lui - qui avait eu l’excellente mauvaise idée de placer la conférence tout de suite après le déjeuner, alias l'heure la plus propice à la sieste ?. Gustav Manner, sommité dans l’univers policier sorcier par ses nombreuses arrestations spectaculaires de dangereux hors-la-loi, mais plus connu du public par ses divers livres à succès sur le monde juridique et policier des sortes de banalisations de ces sujets pour le commun sorcier. Ancien chef général de la police magique, il avait mérité son tableau d’honneur dans le hall d’entrée et sa présence aujourd’hui au quartier général suscitait bien des remous enthousiasmes invité à présenter une conférence-formation à divers membres du corps policier autant les agents de la paix que les tireurs d’élite ou que les préposés à l’accueil, le grand maître causait un nombre impressionnant de torticolis puisque tous étiraient leur cou dans l’espoir de croiser son regard. Comme il s’avérait évidemment impossible de suspendre l’entièreté l’activité policière pendant quelques heures, Manner donnerait quatre fois la conférence, poétiquement intitulée L’importance de la diplomatie. Quelques chanceux assistaient à la première représentation, dont Finlay, à qui son chef, Lewis, avait grommelé Tiens, vas-y. Le plus tôt, tu y vas, le mieux, ce sera. » Le concerné avait froncé les sourcils devant l’insinuation, mais s’était tu si ce silence n’était pas de la diplomatie, qu’était-ce alors ?. Ce que Gustav Manner racontait était intéressant… pendant cinq minutes. Après cela, chaque phrase revenait exactement à la même chose et alourdissait le propos. Tandis que Finlay s’enfonçait lentement mais sûrement dans son siège, son voisin de droite lui refila un bref et efficace coup de coude dans… et non, pas dans ses côtes, elles étaient rendues trop basses pour les atteindre... ce fut donc la cage thoracique qui fut cruellement touchée. Aouch. Endroit bien douloureux qui l’élança et le maintint éveillé pendant une bonne quinzaine de minutes. Il est primordial de toujours être courtois et patient avec les sorciers qui viennent chercher votre aide puisque vous êtes leur seul appui à ce moment. Vous êtes leur lien entre le malheur qu’ils vivent et la clef du bonheur à venir… » D’accord, d’accord. Les dires de Manner étaient vrais, mais était-il nécessaire de passer par des images tirées d’un bouquin de psychologie populaire ? Parlant de Manner… il était plutôt bien conservé pour ses quatre-vingts ans approchant. Prenait-il des potions pour garder une peau d’apparence si saine ? À moins que ce ne fût l’œuvre de sortilèges ? Mais non, l’effet des sorts s’estompait plus rapidement que cela. Oh ! Et voilà que l’ennui transformait Finlay en mère de famille complexée par ses vergetures, qui cherchait par tous les moyens à retrouver son visage de la vingtaine par peur de perdre son mari aux mains fines de sa secrétaire. Non, décidément, l’inertie ne lui seyait pas. McBain ! » souffla Lewis qui venait de se faufiler dans la salle. Que, qui, quoi ? Avait-il ronflé trop fort ? Le tireur d’élite tourna son visage sur lequel se lisait un immense Qu’est-ce qu’il y a, j’ai rien fait, je le jure, j’écoute avec attention. Lewis lui fit simplement signe de venir le rejoindre au plus vite et Finlay s’exécuta, s’excusant au passage lorsqu’il accrochait de grandes jambes ou en profitant pour saluer silencieusement des collègues. Un tel déplacement attira le regard curieux de Manner qui, toutefois, n’interrompit pas son exposé pour autant, et McBain fils tenta de lui transmettre en un regard et quelques gestes sa pensée qui se résumait à Je suis appelé par le Big Boss, je suis désolé, mais super conférence, merci, un grand honneur de vous voir, bonne journée, désolé encore, est-ce assez diplomatique?, mais Manner ne regardait pas l’exercice de mime jusqu’à la fin et comprit donc qu’une envie pressante terrassait Finlay. On a un petit problème au bureau » lui annonça Lewis, une fois qu’ils furent sortis. Avec ton bureau, en fait. » Okééé, mais encore ? » le poussa à continuer Finlay dont l’incompréhension ornait tous les recoins du visage. Que s’était-il produit de si terrible qui méritait de l’arracher à cette formation qui lui était utile? À moins que ce ne fût qu’une excuse lamentable pour l’envoyer dans une affaire urgente qui nécessitait ses grands talents trop souvent négligés ? Hm, tu verras par toi-même l’étendue de la catastrophe. En gros, il y a environ une heure de cela, un grand rouquin à l’air un peu hagard est entré dans le quartier général et a déposé une citrouille sur ton bureau. » Bon. Jusqu’à présent, la situation était étrange, mais rien de calamiteux encore. Et la citrouille a commencé à grossir. Et elle ne s’arrête plus. » Mais comment s’appelait le rouquin ? » On ne sait pas, on croyait que c’était un ami à toi puisqu’il semblait bien connaître le coin. » Et bien. Les services policiers, toujours prêts à vous servir avec efficacité ! » » lança ironiquement Finlay. Puis, voyant le regard que lui jetait son chef, il se reprit C’était pas très diplomatique ? Pardon. Je n’ai pas assisté à toute la conférence. Bon. Allons voir la bête. » Un rouquin. Son seul indice. Ses collègues n’avaient-ils pas idée du nombre de roux qui peuplaient la Grande-Bretagne !? Doux Merlin. Qui pouvait bien lui laisser des potirons au Ministère ? Il n’avait pas réellement d’ennemi au sein de la pègre – du moins, il l’espérait - ou d’admiratrice secrète – ça aussi, il l’espérait. Dès qu’il entra dans le quartier, il constata l’ampleur de la situation. La plante empiétait maintenant sur les bureaux voisins. Plus malléable que la normale, elle ressemblait à un gros ballon orange mal-gonflé. Les sorciers qui ne pouvaient plus travailler faute d’invasion citrouillienne se tenaient debout, touchaient du bout de leur baguette la … créature, y allaient de leurs hypothèses absurdes. À nous deux. Revelium ! » lança Finlay en pointant l’amas orange. L’effet escompté fut tout autre la cucurbitacée frémit légèrement avant d’éclater et de répandre son contenu visqueux aux quatre coins du quartier général sous les cris surpris de quelques policiers. L’odeur de la citrouille le saisissait après tout, il en avait dans les narines alors… et lui paraissait familière. Bon, d’accord, elle paraîtrait familière à n’importe quel sorcier qui aurait bu son jus, vous me direz, mais non. Car la citrouille éclatée ne dégage pas le même effluve c’est plus brutal, plus festif qu’un simple découpage. Festif. Citrouille. Rouquin. Quel jour sommes-nous ? » demanda Finlay, simplement pour être certain. Le 13 janvier » lui répondit une âme charitable qui essuyait des restants de potiron sur sa chemise beige. 13 janvier, mais oui, mais oui ! Tout fut tellement clair, tellement évident que Finlay éclata de rire, attirant quelques regards inquiets de ses collègues Et s’il y avait quelque chose de poison dans la citrouille ? » . Oh, oh, brillant Abraham, fier Écossais, digne élève qui avait bien suivi ses leçons de bêtise ! Aberdeenshire Sorcerers' Festival ou la célébration écossaise sorcière par excellente où la citrouille explosive était maîtresse. Un festival auquel les familles McBain et McCamlhan, celle d’Abraham, assistaient chaque année, jusqu'à ce que les bambins grandissent et vaguent à d’autres occupations. Depuis combien de temps n’avait-il pas participé à cet évènement grandiose ? Quatre, cinq ans ? Trop longtemps, certainement. Et ce devait être l’avis d’Abra. Le lecteur nous permettra sans doute ici de sauter par-dessus quelques heures de la vie de Finlay qui est un être extrêmement intéressant, nous vous le cédons pour les besoins de l’histoire. Pour garder une certaine trame, disons seulement que le tireur d’élite expliqua plutôt mal la présence de la citrouille et pourquoi il était aussi marrant que cela qu’elle aille explosée il était vraiment le seul à en rire, il dut nettoyer le bureau en entier et ce ne fut pas une tâche facile puisque la citrouille résistait au plus puissant des Recurvite, puis dut chercher en catastrophe un vieux kilt qui traînait dans sa garde-robe. Il passa rapidement chez Neil, son jeune frère, pour l’inviter à la soirée, mais, ne le trouvant pas chez lui, il se contenta de lui laisser un petit message, même s’il doutait fort de la réussite de cette tentative. Nous retrouvons donc Finlay sur les lieux de festivité, aussi excité qu’un gamin qui reçoit son premier balai. Et il y avait de quoi être fébrile il allait revoir Abraham, qu’il avait perdu de vue depuis trop longtemps, et festoyer l’Aberdeenshire, l’une des plus belles fêtes sorcières. En voyant la banderole annonçant le festival, Finlay fut attaqué par un flot de souvenirs d’une époque simple et heureuse. Un immense sourire se dessina sur ses lèvres bleuies par le froid écossais, qui ne demandait pas du tout la même quantité de couches de vêtement que le froid londonien et vous devinez pour quel froid Finlay s’était préparé en toute hâte, sans réfléchir. Allez, hop, trouver Abra au plus vite ! La mission ne promettait pas d’être facile étant donné la quantité astronomique de roux… et puis, son ami d’enfance avait sûrement bien grandi depuis leur dernière rencontre. Et là, au stand de dégustation de whisky à la citrouille, un élancé rouquin lui tournait le dos, mais Finlay semblait reconnaître sa manière de boire avec le coude un peu tourné vers l’extérieur. S’approchant tout en douceur, Finlay profita du moment où le buveur prenait une lampée de whisky pour lui envoyer une bonne tape dans le dos en lançant un joyeux On ne perd pas de bonnes habitudes, Abraham ? » Le supposé Abraham se retourna vers Finlay. Qui constata qu’il n’avait pas du tout affaire avec le bon Abraham. Celui-ci avait une longue moustache rousse pleine de whisky et des petits yeux perçants. Oh. Tu n’es pas Abraham. Pardon » dit Finlay, qui, décidément, ne cessait d’enchaîner les gaffes aujourd’hui. Il mit quelques Mornilles sur la table de bois devant Non-Abraham. Prends un autre whisky à ma santé ! Et bon festival!» lança-t-il avec un sourire avant de s’éclipser rapidement avant que malheur ne lui arrivât. Tout au long de sa quête, Finlay remarqua que l’évènement avait grandi en importance puisque de nombreux nouveaux kiosques étaient apparus depuis sa dernière visite; tant mieux ! Leur plaisir n’en serait que dédoublé. Tandis qu’il passait à côté d’un stand de fabrication de repousse-chauve-souris, la présence d’un nouveau grand roux devant lui l’interpella. Peut-être que cette fois-ci serait la bonne ? Ah mais pas question de se tromper lamentablement encore. Il lui fallait être certain et recertain de l’identité du sorcier et cela nécessitait l’examen de son visage. De son habileté habituelle, Finlay se faufila vers la droite et passa dernière les kiosques en marchant vite. Puis, lorsqu’il jugea détenir une bonne longueur d’avance sur le Peut-Être-Abraham, le jeune McBain retourna sur le chemin principal, faisant ainsi face au présumé. Plus aucun doute c’était bien sa posture, son nez immanquable, ses yeux pétillants. Il s’avança tranquillement en souriant de ces retrouvailles, puis, arrivé à destination, étreignit chaleureusement son ami d’enfance. Te retrouver n’aura pas été une partie de Quidditch, ça non ! » Il se recula de quelques pas pour mieux admirer la transformation de son ami qui avait passé de la fin de son adolescence – moment pas toujours glorieux – au début de sa vie adulte. Finlay jeta sur Abraham un regard à la fois paternel, fraternel et amical. Puisque leur relation s’était caractérisée par le passage d’une de ces phases à l’autre, certains plis restaient les mêmes. Pardonne mon commentaire on-ne-peut-plus cliché, mais comme tu as changé ! Et pour le mieux! MélusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Re Be yourself, everyone else is already taken Dim 19 Jan - 2212 Un sourire me dévora automatiquement la moitié du visage. J'ai quelques réflexes de ce genre, façon mouton de Panurge, dans mes tiroirs. Là, tout de suite et maintenant, c'était le réflexe Finlay McBain. Nous avions changé, nous avions peut-être grandi notez le peut-être », mais ce type me faisait toujours le même effet qu'au début de notre histoire. Ou, disons, au presque début. La bonne humeur qui vient me chatouiller la poitrine, un besoin secret de l'impressionner, et une envie furieuse d'éclater de rire pour un rien. C'était aussi l'une des rares personnes avec lesquelles je me sentais moi. Juste moi. Et c'était un trésor trop précieux pour être multitude de questions viendra-t-il ? », le reconnaîtrai-je ? », et si on n'avait plus rien à se dire ? », et s'il était devenu un petit crétin prétentieux ? », ou aussi banal que le péquenaud moyen ? » - oui, ça pouvait arriver, même aux éléments les plus prometteurs... et j'aurais alors non seulement perdu un ami, mais potentiellement massacré la moitié de mes meilleurs souvenirs. Bon, certes, pouvait-on appeler ami » quelqu'un dont on était sans nouvelles depuis tout ce temps... ? Je décidai, en mon for intérieur, que oui, et, ma foi, si vous n'êtes pas d'accord, allons en débattre autour d'un whisky. Mardi soir ? C'est noté. Fin de la parenthèse., les questions, donc, et les doutes qui m'avaient assailli s'étaient envolés dès que Finlay avait surgi sous mon nez. J'attrapai un bout de citrouille qui s'était greffé à ses cheveux et m'amusai Je vois que tu as trouvé mon message... »J'étais bien curieux de savoir ce qu'était devenu ma citrouille expérimentale mais jugeais que cette anecdote pouvait bien attendre encore un crois que je ne réalisais pas complètement que Fin était bien là, devant moi, en chair, en os et en sourire saluai tant bien que mal ses premiers mots d'un vague haussement d'épaules. Je n'avais pas tellement le sentiment d'avoir changé. Physiquement, j'avais probablement grandi, mûri, mais intérieurement, je me sentais toujours le même. Idéaliste, rêveur, anti-conformiste et particulièrement immature. On ne se refaisait pas. Mais j'avais Finlay, juste sous les yeux, et lui non plus n'était pas exactement tel que je l'avais laissé. Je décidai pourtant qu'il était toujours celui que j'avais connu. J'imagine que j'ai l'optimisme chevillé au sourire se renforça, tout aussi brutalement Ahah ! A qui le dis-tu ? Tu t'es vu ? Et tireur d'élite, je vous prie, monsieur... ! »Je le charriai doucement, gentiment. Persuadé comme je l'étais que, puisqu'aucune beuglante signée McBain n'était venue m'incendier les oreilles, mon ami d'enfance avait toujours un solide sens de l' je l'avais toujours imaginé comme une sorte de savant fou, au Ministère, peut-être, effectivement, mais plutôt du côté du département des Sortilèges Expérimentaux, à s'éclater, à inventer de nouveaux maléfices comment faire du caramel, avec du sucre mais sans casserole ; une nouvelle façon de se friser les poils du nez ou encore l'art de faire de l'origami en un seul coup de baguette. Si j'avais été un tant soit peu doué en magie, je me serais peut-être recyclé là-dedans, moi aussi. Ou pas. Rester caché dans un recoin sombre du Ministère jusqu'à avoir homologué mes sorts... erk, non merci ! Je préférais encore cultiver mes citrouilles. Et tant pis si je ne gagnais pas assez pour aller me dorer sur une plage entouré de vahinés se déhanchant au son d'une musique suave. Si j'avais voulu devenir riche et célèbre, j'imagine que j'avais foiré mon plan de carrière quelque part. Mais ma liberté était ma plus grande richesse. Hors de question de la brader à moindre détail » aussi, je savais que Finlay McBain serait l'un des rares à le comprendre. Mais nous aurions largement assez de temps, plus tard, demain, pour disséquer nos curriculum vitae ne disais peut-être pas grand chose je n'ai jamais été un grand bavard. Depuis toujours, j'étais du genre pudique émotionnel. Mais mes yeux qui brillaient et mon air de benêt ravi devaient lui enseigner tout le plaisir que j'avais à le même nous en rendre compte, nous avions commencé à déambuler côte à côte, au milieu des attractions de l'Aberdeenshire Sorcerers' Festival. Je ne pouvais m'empêcher de jeter des regards émerveillés à tous les deux stands. Quand je n'envoyai pas mes yeux fureter du côté de Finlay, comme si, juste avec mes deux prunelles, je pouvais voir au-delà de sa peau. Oui, je sais, ça s'appelle la légilimancie, mais si je foire le moindre de mes lumos, vous imaginez bien qu'allez farfouiller dans la tête des gens m'est aussi facile qu'à un veracrasse d’épeler son nom en me contentais donc de sourire. Et d'admirer. Là ! Un trio de nains s'était lancé dans une pantomime à tomber par terre. Et là ! Un stand de tir de baguette où le gagnant devait non seulement être le plus adroit mais également celui qui produirait la plus belle explosion, spectacle son, lumière et fumée à l'appui. Une fillette qui devait à peine être en âge de porter baguette m'avait tout l'air d'être bien partie pour remporter la course. Ses explosions de fumée rose baignaient nos pieds d'un halo de brume colorée. Avec nos kilts, c'était du plus bel effet. J'applaudis ses efforts avec bonne humeur avant de me détourner vers d'autres spectacles. Concours de bavboules géantes, barbapapas multicolores, balais tamponneurs, tout y était ! Il ne m'en aurait fallu que le quart du quart pour réveiller mon engouement pour cette fête si particulière. J'ai toujours été un grand gamin, m'enthousiasmant pour un rien, et la présence de Fin à mes côtés semblait décupler cet enthousiasme. Il n'y avait vraiment rien de tant palpitant à participer à cette fête en solo était-il utile de préciser que ni Sorcha, ni Mae n'avaient daigné y reposer les pieds depuis des années ? L'adolescence était une période fragile où elles essayaient au mieux de fermer une porte sur l'enfance. S'amuser comme des gosses dans un festival tel que celui-ci aurait probablement détruit leur réputation d'adultes en devenir... Je ne m'étais jamais soucié de telles considérations. Mais il fallait aussi préciser que le jugement des autres m'avait toujours laissé passablement indifférent.... Mais dès qu'on avait un compagnon de trollerie au goût sûr et à l'âme jeune...Je me tournai une nouvelle fois vers Finlay Tu sais, je me suis toujours dit que les ét... »Finlay qui ne saurait jamais ce que je me disais toujours... Je fus brusquement interrompu par un grand craquement aux sonorités humides, tandis que des morceaux de quelque chose explosaient de toute part. Je ne ... »Mes yeux mirent deux secondes à peine à identifier le quelque chose en question. Une demi-seconde supplémentaire pour éclater de rire. J'aurais reconnu un potiron, même massacré et réduit en purée, les yeux fermés. De toute évidence, nous nous étions approchés, sans même le vouloir l'instinct, probablement de l'aire consacrée aux citrouilles-explosers. L'une d'entre elles avait juste pris la clef des champs pour venir nous saluer, allant jusqu'à s’aplatir à nos pieds. Et que l'on ne vienne pas me dire que les citrouilles manquent de bonnes manières. Fin, mon ami... »* Pourvu que tu n'aies pas changé... *, ajoutai-je intérieurement, croisant mentalement les doigts. Eh ? Les neurones n'ont pas de doigts ? Essayez donc de me prouver le contraire... A la guerre, comme à la guerre.... Byrnaaaaaaaaaaaaan Blaed * ! » Byrnan Blaed », que nous pourrions traduire par quelque chose comme brûler du souffle de la vie », était, autrefois, notre slogan, notre cri de guerre, à McBain et à moi. Deux mots lancés comme un défi, destiné à nous donner du courage, à se lancer mutuellement des challenges invraisemblaux, à signer nos plus belles aventures et à saluer nos pires doigts mentaux oui, toujours eux et toujours croisés, se serrèrent encore plus fort. L'heure de vérité avait sonné Chiche ? » Contenu sponsoriséSujet Re Be yourself, everyone else is already taken Be yourself, everyone else is already taken Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumLe Bazarazyn AbrahamSauter vers
Encore moi qui vous parle de plastique! Cette fois-ci, je vous en parle dans le cadre du mois de Juillet Sans Plastique, une initiative mondiale qui encourage la population à diminuer son utilisation de plastique principalement de plastique à usage unique. Cette année, plutôt que de parler des classiques déchets à usages uniques, j’avais envie de vous parler des déchets modernes. C’est quoi les déchets modernes? C’est l’appellation que j’ai décidé de donner aux nouveaux types de déchets que l’on crée depuis les dernières années. Mine de rien, notre mode de vie a beaucoup changé dans les dernières années. La technologie et la pandémie sont probablement les plus grandes raisons de ces changements. Et qui dit de nouvelles habitudes de vie dit de nouveaux déchets. L’achat en ligne Personne n’a pu résister à la folie des commandes en ligne de la dernière année. La pandémie a peut-être accéléré la popularité des fameux achats en ligne, mais cette tendance était déjà bien présente dans la vie de BEAUCOUP de gens. L’achat en ligne, c’est vraiment génial, mais... les boîtes, le rembourrage, les emballages, le transport et l’impossibilité d’acheter en vrac rend les achats en ligne moins intéressants pour l’environnement. Pour chaque commande en ligne, le tout doit être envoyé dans une boîte, une enveloppe cartonnée ou un sac plastique. Dans l’option du carton, la bonne nouvelle est que c'est recyclable, mais il s’agit quand même d’un déchet que l’on aurait pu éviter. Pour tout ce qui est des emballages en plastique, malheureusement, presque tout doit aller directement à la poubelle. Même chose pour le papier bulle » ou toutes autres trucs en plastique pour éviter que les produits se brisent pendant le transport. ANECDOTE Chez Flowerink, nous essayons souvent de réutiliser les boîtes que nous recevons pour envoyer nos propres commandes. Par contre, ces boîtes ne sont pas suffisantes et nous devons quand même acheter des boîtes pour envoyer toutes les commandes. Une fois, nous avons reçu une boîte, pleine de boîtes en s’entend, rien de trop fragile. Mais... la boîte de boîtes était PLEINE À REBORD de bulles en plastique pour éviter que le tout bouge. Pourquoi ne pas avoir choisi une boîte plus petite ou simplement attaché les boîtes ensemble considérant que les items n’étaient pas fragiles? Suite à cette anecdote, nous prenons toujours soin d’écrire à ce fournisseur d’éviter le suremballage et le plastique dans nos commandes. Ils sont très respectueux de nos demandes et nous n’avons plus jamais reçu une boîte de boîtes protégées de plastique! On vous invite à faire de même lors de vos commandes en ligne que ce soit un petit commerce de quartier ou une commande Amazon. Il n’y a pas de solution miracle et je ne suis pas en train de vous dire de ne plus jamais commander en ligne. Maiiiiis, il est possible d’éviter les commandes en ligne qui sont inutiles ou de limiter nos commandes, par exemple à deux par mois, en ajoutant une mention concernant le suremballage. Pas si mal, non? Le take-out Ahhh, le take-out. L’une de mes plus grandes passions. Surtout depuis la dernière année, les commandes pour emportées et/où les livraisons de nourriture sont de plus en plus communes. Je ne vous apprends rien si je vous dis que... ça crée des déchets plastiques. Comment manger pour emporter ou faire livrer de la nourriture sans terminer le repas avec des tonnes de plastique à jeter à la poubelle? Premièrement, il peut être ingénieux de choisir son restaurant en conséquent du type d’emballage. Si on compare, par exemple, une livraison de pizzas VS une livraison de mets chinois. Pizza deux pizzas moyennes, une moyenne frite et deux canettes de boissons gazeuses Quelques emballages en papier recyclables Boîtes de pizza recyclables ou compostables Canettes consignables Mets Chinois combo de soupe, rouleaux impériaux, riz, poulet général tao... Quelques emballages en papier recyclables Souvent des contenants en styromousse pour la soupe, le riz, etc. poubelle, si les contenants sont en plastiques, parfois recyclage Petits contenants plastique de sauce poubelle ou recyclage Sachet de sauce soja poubelle Commande souvent envoyée dans des sacs en plastique poubelle si souillés Désolé si je vous ai creusé l’appétit !!! En regardant ces deux exemples, on voit rapidement une différence majeure en termes de déchets. L’idée n’est pas de regarder simplement la quantité, mais aussi de réfléchir à la façon dont on doit se débarrasser de tous ces déchets. Dans l’optique où tous les emballages sont compostables, c’est génial! Même s’il y en a que quelques-uns, mais qu’ils doivent tous aller à la poubelle, ce n’est pas mieux! Bref, le take-out, c’est vraiment correct! Mais on peut parfois faire quelques modifications pour rendre le tout un peu plus vert. Voici quelques conseils en rafale Spécifiez que vous ne souhaitez pas avoir d’ustensiles et/ou d’essuie-tout avec votre commande; Spécifiez que vous n’avez pas besoin de condiments exemple sauce soja, ketchup, mayonnaise si vous en avez déjà à la maison; Si vous commandez un breuvage, essayez d’opter pour quelque chose en cannette qui sera consignable ou optez pour ce que vous avez à la maison; Si vous faites livrer de la nourriture au bureau, assurez-vous de garder des ustensiles propres sur place pour l’occasion. Le grand come-back du plastique à usage unique Juste au moment où on pensait que la guerre contre le plastique à usage unique allait bon train, la pandémie nous a fait faire quelques pas en arrière. Ne vous en faites pas, il n’est pas trop tard pour reprendre nos bonnes habitudes et rejeter le plastique à usage unique du revers de la main. Voici quelques trucs pour reprendre l’habitude d’éviter le plastique à usage unique en temps de pandémie Visitez les cafés qui acceptent les tasses réutilisables la plupart ont recommencé à le faire; Évitez les commerces et épiceries qui refusent les sacs réutilisables. Trouvez un commerce en vrac près de chez vous qui acceptent les contenants réutilisables en tout temps; Toujours utiliser un masque réutilisable/lavable lorsque possible; Remplir vos petites bouteilles portatives de désinfectants pour les mains en vrac ou d’une grande bouteille; Et telllllement plus. Finalement, essayez de reprendre les bonnes habitudes que vous aviez mis en place avant la pandémie! Votre défi suite à la lecture de cet article... ce n’est pas de supprimer tous les déchets plastiques de votre vie ; Je vous demande plutôt de faire une mini analyse et de vous demander De quel déchet plastique pourrais-je me défaire facilement? » Essayez d’opter pour quelques astuces qui sont faciles à appliquer dans votre mode de vie actuel. Sur ce, bon mois de Juillet Sans Plastique à tous,
UdkOBVU. 178 233 392 141 189 49 361 11 346