Commissionlocale d’information et de surveillance de l’installation de stockage de dĂ©chets non dangereux de CrĂ©py en Valois (ISDND) Cette commission (la CLIS) s’est rĂ©unie le jeudi 16 octobre 2014. Etaient prĂ©sents : 2 reprĂ©sentants de la sous-prĂ©fecture dont le sous-prĂ©fet ; Le directeur et son adjoint de l’ISDND ; 2 reprĂ©sentants de la mairie de CrĂ©py en Valois ;
Accueil Actus Joseph Barton PubliĂ© le 25/06/2014 Ă  13h39 videosurveillance© lucastor-fotolia Les dispositifs de vidĂ©osurveillance se sont multipliĂ©s ces derniĂšres annĂ©es. OpportunitĂ© pour amĂ©liorer notre sĂ©curitĂ© selon certains. Pour d'autres, les bĂ©nĂ©fices ne sont pas avĂ©rĂ©s, et les effets nĂ©gatifs pourraient mĂȘme ĂȘtre dominants. Le point de la question avec les auteurs de VidĂ©osurveillance ou vidĂ©oprotection ». Anne-CĂ©cile Douillet est professeur de science politique Ă  l'universitĂ© Lille 2 et chercheur au Ceraps CNRS-Lille 2.Éric Heilmann est professeur Ă  l'universitĂ© de Bourgogne Ă  Dijon. Il est membre du laboratoire de recherche en sciences de l'information et de la communication Melchior est retraitĂ©. Inspecteur gĂ©nĂ©ral de l'administration, il a Ă©tĂ© chargĂ© par le gouvernement en 2007, aprĂšs une premiĂšre Ă©valuation en 2005, de prĂ©parer un plan de dĂ©veloppement de la vidĂ©osurveillance, puis de conduire sa mise en Germain est docteur en science politique et chercheur associĂ© au CNRS. Elle a travaillĂ© sur les politiques locales de sĂ©curitĂ© en Italie et en France Grenoble et Lyon notamment.Comment est-on passĂ© de la vidĂ©osurveillance Ă  la vidĂ©oprotection ? Anne-CĂ©cile Douillet et SĂ©verine Germain Les lĂ©gislations successives tĂ©moignent de l'Ă©volution de la position de l'État français face Ă  la vidĂ©osurveillance depuis les annĂ©es 1990, en particulier en matiĂšre de vidĂ©osurveillance de la voie publique. De la loi d'orientation et de programmation relative Ă  la sĂ©curitĂ© LOPS de 1995 - qui dĂ©finit un cadre juridique Ă  l'installation de camĂ©ras de vidĂ©osurveillance - Ă  l'institutionnalisation de la vidĂ©oprotection par la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure LOPPSI 2 de 2011, l'État a progressivement troquĂ© son rĂŽle de rĂ©gulateur pour celui de promoteur actif de l'outil. C'est l'article 10 de la LOPS qui dĂ©finit un rĂ©gime juridique spĂ©cifique Ă  la vidĂ©osurveillance - dans les lieux ouverts au public, la vidĂ©osurveillance est rĂ©gie par un rĂ©gime d'autorisation prĂ©fectorale prĂ©alable. La loi prĂ©voit diffĂ©rents motifs d'installation, dont la prĂ©vention des atteintes Ă  la sĂ©curitĂ© des personnes et des biens dans des lieux particuliĂšrement exposĂ©s. Cette rĂ©glementation encadre donc la vidĂ©osurveillance, mais lĂ©gitime aussi des installations dont la lĂ©galitĂ© Ă©tait jusque-lĂ  discutĂ©e, certains tribunaux considĂ©rant avant 1995 que seules les camĂ©ras visant Ă  la rĂ©gulation du trafic Ă©taient lĂ©gales. Un rapport demandĂ© en 2005, suite aux attentats de Londres, conduit Ă  la loi du 23 janvier 2006 relative Ă  la lutte contre le terrorisme. Le risque terroriste devient un motif susceptible de justifier l'installation d'un dispositif de vidĂ©osurveillance, l'État pouvant mĂȘme l'imposer aux communes. Si la loi de 2006 marque une implication accrue de l'État dans le dĂ©veloppement de la vidĂ©osurveillance de voie publique, celui-ci se pose en vĂ©ritable promoteur avec la loi relative Ă  la prĂ©vention de la dĂ©linquance » du 5 mars 2007, d'autant que celle-ci s'accompagne d'objectifs chiffrĂ©s, avec le triplement prĂ©vu du nombre de camĂ©ras de voie publique de 20 000 Ă  60 000.L'État a progressivement troquĂ© son rĂŽle de rĂ©gulateur pour celui de promoteur actif de l'outil. Pour parvenir aux objectifs annoncĂ©s, l'État aide les communes Ă  financer de nouveaux systĂšmes. La LOPPSI 2 favorise encore la diffusion de la vidĂ©osurveillance en allongeant la liste des motifs possibles d'installation. Sur un plan plus symbolique, elle a systĂ©matisĂ© l'emploi du terme vidĂ©oprotection en lieu et place de celui de vidĂ©osurveillance dans les documents administratifs et les panonceaux annonçant la prĂ©sence de camĂ©ras sur la voie publique. Cette modification vise Ă  dĂ©tacher l'installation de camĂ©ras de l'idĂ©e de surveillance, qui peut ĂȘtre perçue nĂ©gativement, pour l'associer Ă  celle de sĂ©curitĂ©, plus quoi attribuer la quasi-absence d'opposition rencontrĂ©e par la mise en place du rĂ©seau de camĂ©ras de surveillance dans l'espace public ? Eric Heilmann Trente ans aprĂšs le projet Safari La rĂ©vĂ©lation dans les annĂ©es soixante-dix, d'un projet du gouvernement d'identifier chaque citoyen par un numĂ©ro et d'interconnecter tous les fichiers de l'administration crĂ©a une vive Ă©motion dans l'opinion publique. Ce projet, connu sous le nom de Safari, conduisit le gouvernement Ă  instituer une commission auprĂšs du garde des Sceaux afin qu'elle propose des mesures tendant Ă  garantir que le dĂ©veloppement de l'informatique se rĂ©alisera dans le respect de la vie privĂ©e, des libertĂ©s individuelles et des libertĂ©s publiques., le plan d'Ă©quipement du gouvernement qui encourage l'interconnexion des systĂšmes publics de vidĂ©osurveillance n'a pas suscitĂ© la moindre rĂ©action parmi les Ă©lites politiques partis, syndicats ou autres.À l'exception de quelques minoritĂ©s militantes bien informĂ©es, comme la Ligue des droits de l'homme ou le collectif ''Souriez, vous ĂȘtes filmĂ©s'', l'opposition Ă  la prĂ©sence de camĂ©ras de surveillance dans l'espace public est quasiment inexistante. Le dĂ©ploiement de ces dispositifs semble plutĂŽt soutenu par la population ou la laisse indiffĂ©rente, une indiffĂ©rence qui s'exprime notamment dans cette formule fameuse les camĂ©ras ne m'inquiĂštent pas car je n'ai rien Ă  me reprocher ».La surveillance est gĂ©nĂ©ralisĂ©e et passe finalement inaperçue. Pour expliquer ce phĂ©nomĂšne, plusieurs motifs ont Ă©tĂ© avancĂ©s le sentiment d'insĂ©curitĂ© de la population, la communication politique efficace du gouvernement, l'influence croissante des marchands de biens de sĂ©curitĂ© rompus aux techniques du marketing. On en ajoutera un autre qui tient Ă  la nature mĂȘme du dispositif technique contrairement aux pratiques classiques de fichage qui vise toujours des catĂ©gories prĂ©cises de population, les camĂ©ras filment toutes les personnes qui entrent dans leur champ de vision, sans distinction. La surveillance est gĂ©nĂ©ralisĂ©e et passe finalement autre caractĂ©ristique de la vidĂ©osurveillance est son incroyable plasticitĂ©. Elle est susceptible d'intĂ©grer tous les lieux, tous les territoires de la ville pour capter des images de ceux qui les occupent ou les frĂ©quentent. Toutes les fonctions sociales logement, Ă©ducation, commerce, santĂ©, travail, etc. sont concernĂ©es par l'exploitation des images produites par la vidĂ©osurveillance. Et l'offre sur le marchĂ© des Ă©quipements et des services est plĂ©thorique... Cette panoplie quasi illimitĂ©e d'usages - qui va de la surveillance des rĂ©acteurs d'une centrale nuclĂ©aire Ă  celle de la cage d'escalier dans un habitat collectif - a conduit Ă  une banalisation de la technique et surtout Ă  sa diffusion en dehors du cercle habituel des agences publiques ou privĂ©es en charge du maintien de l'ordre, Ă  tel point que sa finalitĂ© premiĂšre - Ă©minemment sĂ©curitaire - a fini par se diluer parmi d'autres assistance visuelle, gestion des flux, aide Ă  la dĂ©cision, etc..Cette Ă©volution est particuliĂšrement tangible dans les discours des collectivitĂ©s locales qui jugent parfois utile de justifier les investissements engagĂ©s pour s'Ă©quiper. La rĂ©alitĂ© des pratiques montre aussi que les exploitants savent faire preuve d'imagination pour rĂ©inventer des usages afin de maximiser l'exploitation de leurs Melchior La faiblesse de l'opposition me paraĂźt assez normale. Des images permettent d'identifier un dĂ©linquant de maniĂšre sĂ©rieuse et de rĂ©primer. Or, chacun sait que si le risque d'ĂȘtre identifiĂ© et condamnĂ© est clair et grand, il y aura un certain effet dissuasif. Il est donc normal que les Français, comme tous ceux qui ont le souci de leur sĂ©curitĂ©, y soient favorables - en particulier lĂ  oĂč ils ont conscience de courir un risque d'insĂ©curitĂ©. Ils trouvent d'ailleurs normal que ce qui se fait sur l'espace public soit vu. En France, je pense que les prĂ©cautions prises par la loi, les autorisations et les contrĂŽles rassurent nos compatriotes sur le caractĂšre limitĂ© des risques de dĂ©rapage d'un instrument dont ils savent bien qu'il prĂ©sente une certaine ou vidĂ©o-protection ?Le Muscadier 2012, collection Le choc des idĂ©esVerbatim La vidĂ©oprotection est un outil dont l'utilitĂ© ne vaudra que ce que les hommes en feront. L'introduction d'une technique suscite des rĂ©serves souvent lĂ©gitimes et appelle des prĂ©cautions. La vidĂ©oprotection comme les autres. » Philippe Melchior Assez curieusement, le dĂ©bat public ne porte, s'agissant d'efficacitĂ©, que sur l'effet de la vidĂ©o sur la dĂ©linquance. Personne ne semble avoir de doutes sur les dispositifs de lecture automatisĂ©e de plaques d'immatriculation pour rĂ©glementer la circulation ; personne ne souhaite examiner la contribution de la vidĂ©o pour Ă©viter des accidents, ni ne conteste son apport en matiĂšre d'Ă©ducation. » Philippe Melchior À mon sens, ce n'est pas l'utilitĂ© de la vidĂ©osurveillance, mais sa nĂ©cessitĂ© qui devrait ĂȘtre dĂ©montrĂ©e avant d'ĂȘtre installĂ©e sur la voie publique. Aujourd'hui, malheureusement, elle est conçue par de nombreux Ă©lus et habitants comme la premiĂšre mesure de protection - encouragĂ©s en cela par le ministĂšre de l'IntĂ©rieur -, alors qu'elle devrait ĂȘtre pensĂ©e comme un dernier recours. » Éric Heilmann Nous vous recommandons 1607 heures le Conseil constitutionnel a-t-il vraiment sonnĂ© la fin de la rĂ©crĂ©ation ?MĂȘme le Conseil constitutionnel le dit, les 1607h c’est pour tout le monde. Question d’équitĂ©. Mais si, derriĂšre ces grands principes, se cachait davantage de subtilitĂ© ? Peut-ĂȘtre pas jusqu’à rouvrir le dĂ©bat, quoi que
Fin... Éditorial qui va payer la transition climatique ? InfographieAu sommaire de la Lettre du Cadre de juin/juillet 2022 Tourisme = prime time + CSP+
LaCommission de Suivi des Sites (CSS) remplace depuis 2013, la Commission Locale d’Information et de Surveillance (CLIS) de l’usine de Briec. Ses principales compĂ©tences sont : Le suivi de l’activitĂ© du site, La promotion de l’information du public sur l’incinĂ©ration des dĂ©chets en ce qui concerne l’environnement et la santĂ© humaine. 29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 1337 Cette commission la CLIS s’est rĂ©unie le jeudi 16 octobre prĂ©sents 2 reprĂ©sentants de la sous-prĂ©fecture dont le sous-prĂ©fet ;Le directeur et son adjoint de l’ISDND ;2 reprĂ©sentants de la mairie de CrĂ©py en Valois ;Le maire le LĂ©vignen ;Le conseiller gĂ©nĂ©ral du canton ;2 membres de l’association CrĂ©py envirtonnement et qualitĂ© de la vie ;Un administrateur du ROSO ;Un responsable des sites classĂ©s de la DREAL..Agence SITA rĂ©gion IDF3 000 collaborateurs ;400 clients collectivitĂ©s et 7 000 clients entreprises ;8 centres de tri, 9 centres de valorisation Ă©nergĂ©tique, 1 unitĂ© de compostage et 1 unitĂ© de valorisation organique par mĂ©thanisation ;21 ISDND 7 ouvertes et 14 en suivi post-exploitation ;2 installations de stockage de dĂ©chets inertes ISDI..Historique du ISDND de CrĂ©py en Valois Gestion SITA FD groupe SITAOuverture du premier site en casier 1 et 2 le 21 juin Ă©lectrique du biogaz Ă  partir du 18 avril mise en conformitĂ© Ă  l’ par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du 22 avril 2003 et la 2Ăšme mise en conformitĂ© par AP du 30janvier2008..Gestion K2O groupe SITADemande de changement d’exploitant en juin temporaire de la rĂ©ception des dĂ©chets le 30 juin d’un 1er dossier de mise en conformitĂ© des conditions d’exploitation le 14 aoĂ»t 2009 puis d’un 2Ăšme autorisation le 22 dĂ©cembre 2010, dĂ©but des travaux le 3 janvier 2011 et rĂ©ouverture du site le 27 juin 2011..L’exploitation des dĂ©chets doit se poursuivre jusqu’en 2019 mais une demande de prolongation est en cours jusqu’en 2022 et une surveillance pendant 30 ans du centre d’enfouissement aprĂšs fermeture qui peut aller jusqu’à 50 ans..Description de l’installation de stockage de CrĂ©py en Valois6 personnes travaillent sur le site actuellement, d’une superficie de 40 hectares dont 6,5 en exploitation. La capacitĂ© totale d’enfouissement est de 1 200 000 m3 120 000 tonnes annuellement.Le site certifiĂ© ISO 9 001 et 14 001 fonctionne avec 1 chef de centre, 1 chef d’équipe, 3 conducteurs d’engins et une compacteur Ă  dĂ©chets de 47 tonnes et un chargeur Ă  chenilles permettent le maniement et le dĂ©blaiement des horaires d’ouvertures actuels s’étalent du lundi au jeudi de 6h30 Ă  14h45 et le vendredi de 6h30 Ă  13h45 ainsi que le dimanche matin.. Vue aĂ©rienne de l'ISDND Principe d’exploitation Un contrĂŽle et un suivi des dĂ©chets sont effectuĂ©s depuis leur acceptation sur le site jusqu’à leur stockage dĂ©finitif. Il existe Ă©galement un contrĂŽle visuel. Une gestion rigoureuse des conditions d’apports par les clients sĂ©curitĂ© des dĂ©chargements et gestion des flux par 3 employĂ©s. Un dĂ©tecteur de radioactivitĂ© fonctionne sur le portique Ă  l’entrĂ©e. Un rĂ©amĂ©nagement progressif et traitement des effluents existe pour une protection optimale de l’environnement traitement du biogaz et des lixiviats. Un moteur Ă  gaz produit jusqu’à 7 GW d’électricitĂ© suffisant pour alimenter une commune de 9000 habitants et vendus directement Ă  EDF. La production de biogaz est en baisse actuellement Ă  la suite de la fermeture temporaire de la rĂ©ception des dĂ©chets en 2006 et le dĂ©but des travaux en 2011. Pour amĂ©liorer cette production de biogaz, la sociĂ©tĂ© a mis en place un bioreacteur en octobre pour augmenter la vitesse de dĂ©gradation des dĂ©chets, accĂ©lĂ©rer la production de biogaz et d’électricitĂ©, diminuer les Ă©missions de gaz Ă  effets de serre et enfin rĂ©duire la production de lixiviats eaux pluviales ayant percolĂ© dans les dĂ©chets. L’installation d’un moteur Ă  gaz plus petit est prĂ©vue pour s’adapter Ă  la pĂ©riode de transition de baisse de la production de biogaz. . En 2013 116 841 tonnes de dĂ©chets sont stockĂ©s dont 27 450 tonnes des dĂ©partements limitrophes composĂ©s de dĂ©chets mĂ©nagers Ă  hauteur de 19% et de 81% de DIB dĂ©chets industriels banals. 13147 tonnes de terres polluĂ©es ainsi que des dĂ©chets industriels inertes sont employĂ©s pour recouvrir les dĂ©chets et limiter les mauvaises odeurs. . Plateforme de valorisation du biogaz produisant de l'Ă©lectricitĂ© Gestion des lixiviats Chaque casier est hydrauliquement indĂ©pendant et Ă©quipĂ© d’un puits de pompage. Les lixiviats sont ensuite acheminĂ©s vers un bassin tampon puis rejetĂ©s dans le rĂ©seau d’assainissement de la commune afin d’ĂȘtre traitĂ©s en STEP urbaine Station d’épuration des eaux usĂ©es. . Gestion du biogaz Captage Ă  l’avancĂ© par 87 puits forĂ©s dans le massif de dĂ©chets et par des tranchĂ©es drainantes. L’ensemble des points de mesures sont contrĂŽlĂ©es hebdomadairement par une entreprise spĂ©cialisĂ©e. Un moteur de combustion du biogaz d’une capacitĂ© de 750M3/h, produit 1,2MWh d’électricitĂ© avec un taux de fonctionnement horaire de 88% et une valorisation annuelle de 4 833 534 Nm3 de biogaz. Taux de valorisation de 90% mais fonctionne actuellement Ă  50% de ses capacitĂ©s. Une torchĂšre de capacitĂ© de 1000M3/h peut brĂ»ler la totalitĂ© du biogaz si une panne se produit sur le gĂ©nĂ©rateur d’électricitĂ©, empĂȘchant ainsi une explosion. Collecteur du biogaz Suivi des eaux souterraines Le rĂ©seau de contrĂŽle est constituĂ© de 6 piĂ©zomĂštres PZ situĂ©s en amont et en aval hydraulique. La qualitĂ© des eaux est analysĂ©e semestriellement notamment pour le pH, les mĂ©taux lourds, les hydrocarbures totaux etc
 et tous les 4 ans au niveau du pH, la conductivitĂ©, COT, DCO DBO5, NH4+, MES, des nitrates, nitrites, mĂ©taux totaux, chlorure, hydrocarbures, sulfates, phosphates, phĂ©nols, potassium, sodium magnĂ©sium, bore fluorures dernier contrĂŽle en juin 2011. La qualitĂ© des eaux souterraines est stable et globalement bonne Ă  trĂšs bonne par rapport au systĂšme Ă©valuation de la qualitĂ© des eaux souterraines pour la protection de l’eau potable hormis sur le PZ5 situĂ© en aval immĂ©diat de l’ancienne zone pour ce qui concerne les teneurs plus Ă©levĂ©es en chlorures, NH4+, COT, conductivitĂ©, manganĂšse et sodium. Le PZ6 montre une attĂ©nuation de ces teneurs en pĂ©riphĂ©rie du site. La protection des alvĂ©oles L’amĂ©nagement est composĂ© du bas vers le haut D’un gĂ©otextile de renforcement visant Ă  assurer la parfaite stabilitĂ© dans le temps de l’ensemble ; D’une couche d’1 mĂštre d’argiles venue de Vauciennes et de la rĂ©gion de Seine et Marne. Ces argiles ont Ă©tĂ© remaniĂ©es et compactĂ©es de façon Ă  obtenir une trĂšs forte impermĂ©abilitĂ©. Cette couche est renforcĂ©e par un gĂ©otextile bentonitique la bentonite est une argile trĂšs fine et gonflante, parfaitement impermĂ©able. Une goutte d’eau mettrait 30 ans pour traverser cette Ă©paisseur ; D’une gĂ©omembrane en polyĂ©thylĂšne haute densitĂ© ; D’un gĂ©ocomposite de protection et drainage. . Coupes de l'ISDND de CrĂ©py en Valois Les observations Yves Mouny, prĂ©sident de notre association est intervenu pour exprimer son dĂ©saccord sur le principe d’un forage Ă  la limite du bois de Tillet Ă  moins d’un km du casier non protĂ©gĂ© de la dĂ©charge Etude prĂ©alable avec un coĂ»t de 64 500€. Il craint une pollution Ă  long terme de la nappe phrĂ©atique malgrĂ© les dĂ©nĂ©gations de certains participants Ă  la rĂ©union. Il a indiquĂ© que plusieurs forages ont Ă©tĂ© effectuĂ©s au bois du roi avec une eau d’excellente qualitĂ© et que la faisabilitĂ© des raccordements au circuit d’eau potable n’est pas un problĂšme puisque la commune de Levignen puise son eau potable Ă  partir d’un forage pratiquĂ© au bois du roi. . Le reprĂ©sentant de la DREAL a rĂ©pondu qu’en cas de pollution avĂ©rĂ©e et afin qu’elle ne s’étende pas il sera possible de mettre en Ɠuvre une barriĂšre hydraulique qui consiste Ă  pomper rapidement et d’une façon importante et soutenue les eaux polluĂ©es de la nappe phrĂ©atique. Pour Yves Mouny, il est prĂ©fĂ©rable d’éviter de genre de problĂšme. . Les reprĂ©sentants de la mairie de CrĂ©py en Valois ont rĂ©pondu qu’ils prendront les renseignements nĂ©cessaires pour ĂŽter les doutes sur les risques de pollution de la nappe phrĂ©atique situĂ©e Ă  l’orĂ©e du bois de Tillet. . L’inquiĂ©tude des habitants du lotissement prĂ©s de la nouvelle gendarmerie a Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e. Ceux-ci ont dĂ©couvert avec surprise pour certains que leur terrain se trouvait en contrebas de l’ancienne alvĂ©ole de la dĂ©charge non protĂ©gĂ©e et craignent la pollution de leur terrain. . Les enjeux Ă©cologiques S’inscrire dans la continuitĂ© Ă©cologique locale avec le choix d’essences locales et la prĂ©servation des haies et bosquets existants ; Diversifier les milieux pour l’accueil d’une faune et flore remarquable ; Favoriser l’implantation naturelle de la faune locale, par l’adoption de semis lĂ©gers anti-Ă©rosion avec fauche tardive, par une fauche diffĂ©renciĂ©e et la prĂ©servation de zones refuges pour la flore et la faune. Pas d’emploi de phytosanitaires. . ComitĂ© de rĂ©daction de l’association CrĂ©py environnement et qualitĂ© de la vie. . UA-46075681-3 Ouvrages de contrĂŽle des eaux souterraines Published by CrĂ©py en valois environnement - dans Environnement ProposĂ©epar la commission locale d’animation et information (CAI), la brocante vide-greniers se tiendra dimanche 28 aoĂ»t Ă  partir de 7 h tout au long de la rue d’Haironville. A la centrale de Chooz, ce sont 1000 hommes et femmes, agents et salariĂ©s d’EDF et des entreprises partenaires, qui se relaient jour et nuit pour produire de l’électricitĂ© et rĂ©pondre ainsi aux besoins des clients d’EDF. Par ailleurs, l’ancienne centrale de Chooz A est en cours de production d’électricitĂ© d’origine nuclĂ©aire est une industrie spĂ©cifique, qui impose un trĂšs haut niveau de sĂ»retĂ©. En application de la loi TSN Transparence et sĂ©curitĂ© nuclĂ©aire du 13 juin 2006 et du dĂ©cret du 18 mars 2008, la mise en place de la Commission Locale d’Information CLI assure une mission de suivi, d’information et de concertation en matiĂšre de sĂ»retĂ© nuclĂ©aire. Elle est un relais local d’information pour le grand est constituĂ©e la CLI ? La mise en place de la CLI incombe au prĂ©sident du Conseil dĂ©partemental. Philippe Dazin, ChargĂ© de mission Ă  la Direction FinanciĂšre du Conseil dĂ©partemental, est alors dĂ©tachĂ© pour assurer la responsabilitĂ© administrative et financiĂšre de la CLI de Chooz». Afin de garantir son autonomie et son indĂ©pendance, elle est constituĂ©e en association de loi 1901. Son AssemblĂ©e est Ă©quilibrĂ©e et se compose de 4 collĂšges - le collĂšge des Ă©lus, qui reprĂ©sente plus de la moitiĂ© des membres- le collĂšge des reprĂ©sentants d’associations de protection de l’environnement- le collĂšge des reprĂ©sentants des organisations syndicales de salariĂ©s de la Centrale NuclĂ©aire de Chooz- le collĂšge des personnes qualifiĂ©es et des reprĂ©sentants du monde Ă©conomique CLI de Chooz » associe Ă©galement des acteurs locaux et nationaux, des Ă©lus belges. Le gouverneur de la province de Namur est, notamment, membre du Conseil d’Administration de la est le fonctionnement de la CLI ?ConcrĂštement, la CLI a pour missions de comprendre la vie et le fonctionnement d’une installation de production d’électricitĂ© nuclĂ©aire, d’avoir un regard externe pertinent, d’émettre des questionnements et avis et d’ĂȘtre un relais d’information vers le grand public. Elle reçoit des informations de la part de l’exploitant EDF, de l’AutoritĂ© de SĂ»retĂ© NuclĂ©aire et des services d’Etat. Des membres de la CLI sont Ă©galement invitĂ©s Ă  assister aux inspections des installations nuclĂ©aires. La Commission Locale d’Information assure alors une large diffusion des rĂ©sultats de ses travaux sous un format accessible au plus grand savoir plus ? Si vous souhaitez obtenir plus d'informations, vous pouvez contacter la CLI de CHOOZ par email clidechooz ou par courrier CLI de CHOOZ HĂŽtel du DĂ©partement 08011 Charleville MĂ©ziĂšres. LAssociation nationale des comitĂ©s et commissions locales d'information (ANCCLI), dĂ©nommĂ©e jusqu'en 2010 association nationale des commissions locales d'information (ANCLI), est, en France, une association regroupant des Commissions Locales d'Information (CLI) auprĂšs notamment des installations nuclĂ©aires de base. 9 relations. Burkina Faso SociĂ©tĂ© Cliquez pour agrandir l'image Burkina Faso L'installation des camĂ©ras de surveillance devra ĂȘtre dĂ©sormais dĂ©clarĂ©e 2149 Vues 0 Commentaires Il y a 11 mois © - lundi 06 septembre 2021 - 1948Marguerite Ouedraogo/BonanĂ© La PrĂ©sidente de la Commission de l’informatique et des libertĂ©s CIL, Marguerite Ouedraogo/BonanĂ© a indiquĂ© lundi que l’installation et l’usage des camĂ©ras de surveillance doivent faire l’objet d’une dĂ©claration auprĂšs de son institution, une disposition lĂ©gale majoritairement ignorĂ©e des populations. La CIL tient donc Ă  rappeler que l’installation et l’usage des camĂ©ras de surveillance, doivent impĂ©rativement faire l’objet d’une dĂ©claration Ă  son niveau ; leur usage doit respecter l’intimitĂ© de la vie privĂ©e des personnes dans les lieux de travail et les domiciles, respecter les droits des personnes concernĂ©es, notamment le droit Ă  l’information sur ses donnĂ©es collectĂ©es, le droit d’accĂšs, le droit d’opposition », a dĂ©clarĂ© lors PrĂ©sidente de la Commission de l’informatique et des libertĂ©s CIL, Marguerite Ouedraogo/BonanĂ©. Selon elle, la CIL procĂšde Ă©galement Ă  des contrĂŽles Ă  priori et Ă  posteriori des traitements de donnĂ©es, pour s’assurer de leur conformitĂ© aux dispositions de la loi. Ainsi, 123 contrĂŽles ont Ă©tĂ© effectuĂ©s en 2020, des manquements ont Ă©tĂ© relevĂ©s, qui ont trait notamment au non-accomplissement des formalitĂ©s prĂ©alables, Ă  l’insuffisance des mesures de sĂ©curitĂ© des donnĂ©es, au non-respect des droits des personnes, Ă  l’emplacement des camĂ©ras de surveillance, Ă  la disproportionnalitĂ© dans la collette des donnĂ©es par rapport aux finalitĂ©s poursuivies », a-t-elle prĂ©cisĂ©. La CIL reçoit et traite rĂ©guliĂšrement des cas de plaintes relatifs Ă  la violation des droits des personnes dans le traitement de leurs donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel. Ces plaintes sont, la plupart du temps, liĂ©es Ă  leurs activitĂ©s sur internet et les rĂ©seaux sociaux. Environ 855 plaintes ont Ă©tĂ© traitĂ©es en 2020. » Au cours de l’annĂ©e 2020, la CIL, n’ayant pas un pouvoir d’investigation, a transfĂ©rĂ© Ă  la brigade de lutte contre la cybercriminalitĂ© BCLCC avec qui elle est en partenariat, une centaine de plaintes relatives Ă  l’arnaque en ligne, Ă  l’espionnage tĂ©lĂ©phonique, au piratage des Ă©quipements informatiques, Ă  l’usurpation d’identitĂ©s, au piratage de comptes, Ă  la diffamation sur les rĂ©seaux sociaux, au chantage Ă  la webcam et Ă  la divulgation des donnĂ©es personnelles sur les rĂ©seaux sociaux, en vue d’apprĂ©hender les auteurs de certaines infractions, a soulignĂ© Marguerite Ouedraogo/BonanĂ©. Il est important de souligner que la violation des droits des personnes sur le Net a pris de l’ampleur, surtout avec la digitalisation des services. Avec l’usage abusif des nouvelles technologies, les internautes volontairement ou non, exposent leurs donnĂ©es personnelles et leur vie privĂ©e sur la toile, sans pour autant savoir Ă  quoi elles serviront plus tard », a-t-elle indiquĂ©. A cela, s’ajoute la mainmise des gĂ©ants du web GAFAM sur les informations qui sont postĂ©es sur ces plateformes, qu’ils exploitent Ă  leur guise, Ă  travers des services qu’ils offrent, qui requiĂšrent le consentement forcĂ©, si je puis le dire, des internautes, avant qu’ils n’en bĂ©nĂ©ficient. Des conditions d’adhĂ©sion sont soumises aux internautes qui n’ont autre choix que d’accepter.», selon Mme Ouedraogo /BonanĂ©. La Commission de l’informatique et des libertĂ©s entend poursuivre, voir renforcer ses campagnes d’information/sensibilisation, pour engendrer un changement notable de comportements face aux aspects nĂ©fastes des nouvelles technologies sur nos donnĂ©es personnelles et notre vie privĂ©e. Depuis 2014, au regard des dĂ©rives constatĂ©es dans l’utilisation des TIC par les jeunes, la CIL a mis en place un programme spĂ©cifique d’éducation au numĂ©rique au profit des Ă©lĂšves et Ă©tudiants, pour les prĂ©munir et les protĂ©ger des actes cybercriminels. À travers ce programme, elle a sensibilisĂ© environ 29 760 Ă©lĂšves et Ă©tudiants Ă  une utilisation saine et responsable des TIC. Avec le ministĂšre en charge de l’éducation nationale, elle travaille Ă  inclure dans les curricula de l’enseignement, un module sur la protection des donnĂ©es personnelles et la vie privĂ©e. Boa, Ouagadougou Par Koaci RESTEZ CONNECTÉ En tĂ©lĂ©chargeant l'application KOACI. 0 Commentaires Burkina Faso L'installation des camĂ©ras de surveillance devra ĂȘtre dĂ©sormais dĂ©clarĂ©e Veuillez vous connecter pour commenter ce contenu. Votre avis nous intĂ©resse. Soyez le premier Ă  commenter cet article LesĂ©tudiantes de remarques inappropriĂ©es, la Commission locale d'intervention ContrĂŽle de la Discipline 2020-04-01 03:40:50 RĂ©cemment, la licence d'Ă©tudiant chinois Xin Ă©mis par son compte de micro-blog Sina @ Xin NOVA- licence des remarques inappropriĂ©es sur un grand nombre de foyers ont suscitĂ© des prĂ©occupations du public.
Saharamédias - Les ministÚres de la santé et de lñ€ℱindustrie, du commerce et du tourisme ont annoncé la création dñ€ℱune commission mixte chargée de faire lĂąâ‚Źâ„ąĂƒÂ©tat de la situation de la surveillance des produits pharmaceutiques et alimentaires, de rencontrer tous les acteurs et services techniques concernés et de présenter son rapport dans les meilleurs délais. Cette décision a été annoncée lors dñ€ℱune réunion tenue mardi par les ministres de la santé et de lñ€ℱindustrie, du commerce et du tourisme, Nadhirou O. Hamed et Naha mint Hamdi O. Mouknass, dans le cadre de la coordination entre les deux départements à propos de la surveillance des produits pharmaceutiques et alimentaires. Cette réunion était destinée à dynamiser les mécanismes et déterminer les mesures pratiques afin de garantir la surveillance de ces produits dans le cadre de lñ€ℱapplication de la loi. Lors de cette réunion les deux ministres ont insisté sur la nécessité de mettre en place des mesures à mÃÂȘme de durer et de surveiller ces produits de façon efficace et pé articles, commentaires et propos sont la propriété de leurs auteurs et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité Commentaires 3 Lus 1293 Postez un commentaire Charte des commentairesA lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les débats passionnants sur Cridem Commentez pour enrichir Le but des commentaires est d'instaurer des échanges enrichissants à partir des articles publiés sur Cridem. Respectez vos interlocuteurs Pour assurer des débats de qualité, un maÃtre-mot le respect des participants. Donnez à chacun le droit d'ÃÂȘtre en désaccord avec vous. Appuyez vos réponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives. Contenus illicites Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisémites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives à la vie privée d'une personne, utilisant des oeuvres protégées par les droits d'auteur textes, photos, vidéos.... Cridem se réserve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir à la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation à Cridem! Les commentaires et propos sont la propriété de leurs auteurs et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité. Identification Pour poster un commentaire il faut ÃÂȘtre membre . Si vous avez déjà un accÚs membre . Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut à droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI . Vous n'ÃÂȘtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI . En étant membre vous accÚderez à TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction .
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